La nuit tombait sur le port, la lueur des bateaux étaient encore présente, ainsi une montagne de cadavres d'hommes et de chevaux encore fumant. Ils restaient pas plus d'une dizaine de navires. Robert profita de ce moment de calme pour annoncer la suite de l'aventure.
-Soldats, j'ai une triste nouvelle à vous annoncez, le messager qui est venu me voir l'autre jour, c'était pour m'annoncer que le roi est mort sans héritier et ainsi il me donna le trône et son statut et si vous vous demandez pourquoi j'ai fait tuer nos alliés c'est parce que les anglais attaque le nord du pays et pour les germaniques, ils se seraient retourné contre moi et on serait tous morts à cette heure.
De la crainte ainsi qu'un profond respect pouvait ce lire sur le visage des soldats, mais la personnalité de Robert commença à déteindre sur eux. Assoiffé de sang et de violence, Robert espérait juste tomber sur d'autres troupes pour les massacrer.
-Maintenant mettons nous en route, nous avons beaucoup de route et puis nous avons un pays à sauver.
Les premières semaines du voyage ce passait bien. On pouvait assister quelques fois au coucher du soleil flamboyant sur l'horizon de l'eau, un magnifique point de vue que les hommes ne verront qu'une seule fois dans leur vie, rangé dans leur tête à côté de tous ce qui venait de se passer, un moment de bien être, mais toute chose a une fin, après avoir essuyé quelques batailles navales sans conséquence sur l'armée en elle même, ainsi en mars 1100, ils arrivèrent enfin au port de Marseille. Les hommes débarquait dans le plus grand des calme, le campement fut installer au nord de la ville, la nouvelle se propaga que le roi est rentré au pays et qu'il attendait que tous les hommes voulant bouter les anglais, devaient prendre les armes et le rejoindre dans la cité phocéenne. Ainsi dans les semaines qui suivent plusieurs milliers de soldats arrivèrent de toute la France, on pouvait compter 2000 soldats lourds, 1750 cavaliers lourd, et 1500 arbalétriers, Robert était étonné de l'appel qu'il a passé, il se rendit compte qu'avec son statut de roi, il pouvait pratiquement tous faire. C'est alors que 3 jours plus tard, il avait fait réunir toute l'armée pour annoncer la suite de l'aventure.
-Je vous remercie d'être venu vous battre à mes cotés, maintenant je pense que les anglais nous attendent de pied ferme, on vas les faire regretter d'être en France, on vas se battre pour préserver notre pays. Vous venez avec moi ?
Les hommes se faisait entendre de toute les manières possible pour montrer leur accord, les chevaux hennissaient, les armures scintillantes grinçaient, les soldats criaient de joie.
-Sur ce, allons casser de la gueule anglaise.
Toute la troupe quitta la ville une immense colonne se forma, le roi devant avec sa garde rapprochée, suivit de la cavalerie, des arbalétriers et enfin l'infanterie. La traversée de la France fut rapide, ainsi 5 semaine plus tard, l'armée se retrouva aux portes de Paris, dont énormément de fumée s'en dégagea.
-Pour qu'il y ait autant de fumée dans une seule ville, c'est largement impossible, s'exclama Robert, c'est un siège, la ville est assiégé, SOLDATS EN FORMATION DE COMBAT, LES ARBALÉTRIERS DEVANT SUIVI DE L'INFANTERIE ET DE LA CAVALERIE, L'ARTILLERIE SUR LES CÔTÉS.
Les hommes s'exécuta, des catapultes avaient rejoint l'armée quelques jours plus tôt, l'assaut n'aurais pas été possible sans elles.
-CATAPULTE, VISEZ LES MURS ET ENFLAMMÉ LES PROJECTILES.
Les murs tombait petit à petit pour laisser place a un énorme trou, des hommes en sortie pour former une ligne
-INFANTERIE, EN AVANT MARCHE
Les deux armées se faisais face, un dizaines de mètres les séparait, l'oriflamme ennemi était connu des français, l'aigle jaune sur le fond noir, le saint empire romain germanique, mais cette fois-ci, la cavalerie était plus imposante, les hommes encore plus nombreux, quant aux anglais on pouvait les apercevoir sur les murs qui tenaient encore debout l'affrontement était inévitable. Mais nous allons le découvrir dans le prochain chapitre.
VOUS LISEZ
Croisade (histoire fini)
Исторические романыLe pape appel à la croisade en l'an de grâce 1096, plusieurs milliers de pèlerins ainsi que des forces armées répondirent à l'appel mais un homme va sortir du lot, en commettant plusieurs actes atroces, son nom va se répandre partout où il passe pou...