Chapitre 4 : l'affrontement

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Les 2 armées se faisait face, les soldats se provoquaient pour pousser les autres à l'erreur, on entendait des insultes du côté français.

-FILS DE CHIEN GALEUX, BANDE DE COUARDS, JAMAIS VOUS NOUS BATTRÉS.

Les allemands fit de même dans le langage des plus incompréhensible possible. Robert donna ses ordres.

-UNITÉS DE TIR, FEU.

Les arbalétriers se mirent en avant, le même mouvement se faisait en face, alors que sûr les murs, aucun hommes ne bougeaient alors que les français étaient à leurs portés.

-CATAPULTES, TIRÉS SUR LES MURS.

Soudain, des flèches coupa les cordages des catapultes qui les rendaient inutilisable.

-Merde, ils sont doués mais on verra qui gagneras.
J'ai une idée, capitaine, donne l'ordre à la cavalerie de charger sur les arbalétriers germain et que les nôtres les couvrent en tirant sur les anglais.

-Oui, mon roi

Quelques minutes plus tard le ciel fût noirci de flèches, et les hommes tombaient comme des mouches, la cavalerie s'avançait, prête à charger, un son de trompe annonça l'assaut, les cavaliers donna plusieurs coup d'étriers avant de partir à pleine vitesse sur leurs chevaux de fer, le bruit des sabots qui claquaient contre le sol était puissant, les secondes qui passait semblait être des minutes, l'adrénaline à son paroxysme, le choc se produisit enfin, plusieurs germains se retrouvaient empalés sur les lances ou alors ils étaient renversés et écrasés sous les chevaux, la troupe d'arbalétriers allemands était rapidement décimé ainsi que les anglais, alors que la cavalerie reformait les rangs dans l'ombre des remparts ennemi, un cri se faisait entendre venant de l'intérieur de la ville. Robert le reconnu.

-Une sortie, ils font une sortie, CAVALERIE, RECULÉS MAINTENANT.

Mais il était trop tard, les hommes qui sortaient sont des vougiers, l'unité qui faisait défaut a la cavalerie.
Un terrible combat commença. Le nombre des français se réduisit à vue d'œil, déstabilisant les cavaliers pour les achever à terre, mais ces derniers ne se laissait pas faire, ils se battaient avec acharnement pour leur vie, mais chaque perte faisait baisser le moral aux autres. Après plusieurs minutes, la cavalerie mourrut, Robert ne pouvait supporter de perdre cette bataille, surtout une ville surtout Paris qui est la capitale. Enfin il s'exclama avec rage.

-Il ne me reste plus qu'une chose à faire. Garde rapprochée descendez de votre cheval, on vas suivre l'infanterie à pied.

-Mais mon roi, vous êtes sur ?

-C'est notre dernière chance.

-Et les arbalétriers ?

-Dites leur de rejoindre le reste de la troupe pour engager le corps-à-corps.

-Très bien.

L'armée se réunit pour ne former plus qu'un, une immense masse sombre faîte d'hommes en armure. Robert ce plaça devant.

-Soldats, ceci est le dernier combat, soit nous mourrons tous, soit nous libérons Paris.
Je veux que ces chiens meurent dans d'atroces souffrance, et je vous le permet, maintenant le code de la chevalerie n'a plus d'intérêt pour nous.

Tous les soldats se regardaient d'un air confiant et déterminé, ils voulaient en découdre et en finir le plus vite possible.

-VOUS ÊTES PRÊT.

Un oui général se fit entendre, rempli d'envie de vaincre, d'envie de tuer et de voir du sang coulant sur leurs épées. Robert inspira profondément, pour penser :

-Ces hommes ont une famille, des amis sûr qui ils peuvent compter, alors que moi je n'ai rien, et puis je n'y ai pas vraiment réfléchi mais c'est vrai qu'il ont une confiance absolue en moi, non pas parce que je suis leur roi, mais que je ferais tous pour qu'ils vivent et je trouve que c'est réconfortant...

-Alors, moi roi, quand est-ce qu'on y va ?

-Nous y allons MAINTENANT.

Il parti en premier, les soldats ont suivi dans un tel engouement, avec un courage énorme, car chaque français savaient que leur dernière heure était venu.

-UNITÉS, FORMATION SCHILTRON.

Un immense mur de bouclier bleu et blanc apparu pour contenir l'ennemi. La charge germanique se brisait dessus pour laisser place à un carnage sans nom, les français étaient pris d'une envie de vaincre qui leur fit oublier toute forme d'honneur pour laisser place une violence et de cruauté sans égal. Des membres étaient coupé pour laisser le sang couler, les lames s'entrechoquèrent pour faire produire des étincelles. Une voix s'élevait du tas.

-METTEZ LEUR LA PRESSION, FONCEZ, ET NE RECULEZ JAMAIS.

Une autre voix se fit entendre.

-POUR LE ROI. NE FAIBLISSEZ PAS, EN AVANT.

Les français faisaient reculer les germains jusqu'au remparts. De plus en plus de sang coula, les survivants se battaient avec ardeur, les heures passa sans que l'avantage soit donné, les 2 armées étaient de force égale. La troupe française ayant réussi à acculer et encercler leur ennemi. Un détail sautait aux yeux du roi français :

-Je crois que leur moral est au plus bas, SOLDATS RECULEZ.

L'armée recula pour laisser apercevoir qu'il restait plus qu'une centaine de germains, qui prit leurs jambes à leur cou dès qu'ils pouvaient, d'autres hommes sortaient de la ville en courant tout en évitant le combat, laissant ainsi une ville incendiée.
Les français rentraient dans la cité pour contempler l'étendue des dégâts. Des flammes bloquaient pratiquement tout les passages, des civils avaient tenté de résister en prenant les armes mais la pile de cadavres laissé voir qu'enorment ce sont fait massacrer sans pitié, ainsi les survivants étaient sortis de leur maison pour apprécier le défilé des hommes qui venaient de les libérer, les soldats rejoignaient le centre de la ville où un poteau ce tenais avec le drapeau de l'Empire romain, Robert le fit descendre pour le remplacer par celui de la France, pour enfin se retourner vers les militaires et les civils avec un grand sourire pour enfin dire :

-LA VILLE EST À NOUS.

Un cri de joie et de soulagement ce fit entendre dans la cité, les rayons du soleil perçaient les nuages pour éclairer Paris.

-Dieu est avec et il nous accompagnera jusqu'à notre mort, alors faisons tous pour qu'il soit fier de nous. Capitaine faite le compte des hommes restant.

-À vos ordres

Après plusieurs minutes il revenait, pour annoncer la nouvelle.

-Il nous reste 106 épéistes pour 88 arbalétriers.

-Impossible d'établir une garnison, vous avez demandez aux civils ?

-Aucun ne veux ce rallier à nous.

-Dans ce cas, je ne vois plus qu'une solution, faite équipé tous les hommes de lances et de grand boucliers, entraînés-les, nous partons dans 2 semaines pour rejoindre Caen et exterminer ces foutu anglais.

-Oui mon roi, et puis j'aimerais vous annoncez quelque chose tant que nous sommes tous les 2.

-Et bien je vous écoute.

-Juste avant de revenir vous faire le compte, j'ai consulté les hommes, et ils sont prêts à vous suivre n'importe où et mourir pour vous, il ont une confiance aveugle en vous et défendront toutes les causes que vous leur donneriez.

-Merci de me l'avoir annoncé, cela me réconforte, mais pour l'instant reposez vous et profitez du temps que vous avez.

Le soir même, tout est calme mais un évènement qui va changer le cours de l'histoire arrivera.

La suite au prochain chapitre

Croisade (histoire fini)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant