Chapitre 1

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Autour de moi, tout est noir... Je n'arrive pas à bouger... Quelques temps se passe avant que j'arrive à ouvrir un tant soit peu les yeux. Aussitôt, une grande lumière vient m'éblouir. Après quelques secondes d'adaptation, je réussi finalement à distinguer des formes de plus en plus complexe autout de moi mais, mes membres ne veulent toujours pas m'obéir. Je suis dans une grande prairie... Enfin je crois... Je ne suis pas sûr... Couché là, par terre, je distingue pas grand chose sauf quelques grandes herbes vertes qui me ondulent au gré d'un doux vent qui me caresse le visage. Je réessaye de bouger mais on dirait que c'est vraiment peine perdu, à chaque fois que j'essaie, une grande douleur s'empare de moi et m'empêche de bouger.

Couché là, sur le sol, tout est calme. Même trop calme. On dirait que tout n'est qu'un rêve, parfait... Enfin, se pourrait être parfais si je pouvais bouger. Peut-être que que c'en est un quand même, un rêve je veux dire. Après tout, tout est si calme, si silencieux, si paisible mais en même temps si bizarre et angoissant. Aucun son ne révèle qu'il pourrait y avoir des gens et/ou des animaux dans les environs, je me sens seule... La douleur que je ressens à la tête à l'instant m'enlève ausditôt l'hypothèse du rêve. Je me décide à encore essayer de me lever. Je ne peux pas rester là à attendre qu'un preux chevalier vienne me chercher en me transportant dans ses bras comme une princesse! Je fais fit de l'immense douleur qui envahit chaque petite parcelle de mon corps et réussi finalement à me lever.

J'avais raison, il n'y a personne dans les environs, même pas un animal ou un simple petit moustique pour venir boire une partie de mon sang et me procurer de désagréable démangeaisons. Finalement, en y pensant, ce n'est pas si mal d'être seule! Mais bon, tout est si beau! Je suis belle et bien dans grande et magnifique prairie rempli de longues verdure parsemé de petites fleurs jaunes et blanches. Au loin, de grands arbres d'un beau vert forêt se distingue au milieu de nombreuses montagnes que l'on voit très bien depuis où je me trouve. Bizarrement, elles forment une longue barrière à ne plus finir aussi haute que... Que rien finalement parce que je ne pense pas que quelque chose soit aussi hautes qu'elles! Au moins, de l'autre côté il n'y a que des collines, mais celles-ci sont beaucoup plus nombreuses.

Pendant mon observation des lieux, je n'avais pas remarqué que j'étais morte de soif. Je m'approche d'un petit étang qui se trouve à quelques mètres à peine de moi. Après avoir assouvi ma soif, je dirige mon regard vers mon reflet; grande, cheveux noir jusqu'au milieu du dos et légèrement ondulée, yeux brun, je porte une chemise beige à manche longue avec un pantalon en toile brune et des chaussures de cuir souple, tous trois tachés et quelques peu troués. Je ne me rappelle pas avoir mis ses vêtement, ni comment je suis arrivé là... En fait, je ne me rappelle de presque rien mais si je me fis à mon allure, je dois avoir dans les alentours de 18 ans. Un petit bout métallique froid sur mon cou attire soudain mon attention. Sur lui est écrit quelque chose en lettre stylisée: Kayla. Ce doit être mon nom que, comme le reste, j'ai oublié. Bon, tant qu'à ne rien faire, je vais avancer... Euh... Disons vers le collines!

Kayla; de l'autre côté des montagnesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant