Chapitre 3

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Hugo me fait visiter ce qui doit être la place central de la villr et on s'arrête parfois pour observer les belles choses qui s'y trouvent. Il y a tellement de stand! J'ai arrêté de compter à 58. Finalement, on s'arrête dand une petite auberge au douteux nom de Au Cheveux Tiré parce que, sans m'en rendre compte, la nuit était arrivé, entraînant la fraîcheur avec elle. L'intérieur est très rudimentaire; une quinzaine de petites tables en bois avec quatre chaises autout de chacune fait du même matériel disperssé un peu partout. À part les quelques fenêtres ici et là et quelques bougies clairement à la fin de leurs vies,  aucune lumière n'éclaire la pièce. Une petite scène est placé au fond de la salle où un viel homme raconte des poèmes assomant. Malgré sa petite taille, la salle est bondée de gens qui se démène pour pouvoir s'entendre malgré le brouhaha qui s'y élève
- Merci pour la belle journée! Maintenant, je vais aller me chercher une chambre. Bonne nuit! dis-je à Hugo en partant vers le comptoir.
- Attendez un petit peu!
- Quoi, dis-je en me retournant, quelque peu irrité par son ton trop sûr de lui.
- Vous oubliez quelque chose, me dit-il avec un sourire espiègle.
- Mais quoi donc, dis-je toujours aussi froidement.
- Vous n'avez pas d'argent, me dit-il tout sourire.
- A... E... Ce... Vous... Vous avez raison, dis-je en un soupir, résigné, et rouge d'humiliation. J'avais oublié...
- Ce n'est pas grave, dit-il encore souriant. Puisqu'on dirait que je suis indispensable à votre survie...
- Hey! Ce n'est pas vrai! dis-je en retrouvant un peu de mon sourire.
- Je vais vous payer une chambre, continua-t-il, ignorant mon commentaire.
Nous nous dirigeons vers le comptoir. Un petit homme, chauve, quelque peu grassouillait mais toute fois assez accueillant, s'y tien.
- Une chambre pour deux je vous pris, dit-il au réceptionniste.
- 17 cyons pour la nuit, je reviens avec la clé.
- Quoi?!? dis-je quand il fut parti. Une seule chambre pour nous deux?
- Pourquoi? Ça te dérange? dit-il en affichant son sourire moqueur.
- Non, m'empressais-je de dire d'un ton ferme pour essayer de ne pas perdre plus de crédibilité.
- Tenez, dit le réceptionniste qui venait d'arriver. C'est ls première tout en haut à droite.
- Merci, dit-on en même temps après avoir donné l'argent au monsieur.
En rentrant dans la chambre une chose me choque. Il n'y a qu'un petit lit! Pourtant, il a demendé une chambre pour deux! Je n'y crois pas, premièrement, je vais dormir dans la même chambre qu'un étranger et deuxièmement peut-être même dans le même lit! Je n'arrive pas à croire dans quelle misère je me suis engagé. Essayamt de détendre l'atmosphère, Hugo lance:
- Qu'est-ce qu'il y a? La déco ne vous plaît pas? dit-il en retrouvant son sourire qui commence à m'énerver de plus en plus.
Faisant abstraction de son commentaire, j'essaye de ne plus penser au lit en me disant qu'au pire, il dormira sur le sol et je dirige mon regard sur le reste de la pièce. Malgré sa petite grandeur, il y a un grand bureau muni d'un beau miroir au dessus et une chaise rembourré devant. Malheureusement, led murs sont cierges et quelques peu jaunis par le temps. Sinon, c'est comme les autres chambre habituelle: une petite lampe à huile, un petit lit qui à l'air confortable malgré la laideur de son couvre-lit, un placard, une petite fenêtre avec un rideau tout simplement affreux, l'entretien de la chambre disons, rudimentaire..? Et une petite salle avec une bassine rempli d'eau pour se laver et une toilette qui se trouve à être une sorte de carré de pierre muni avec une planche muni d'un trou sur le dessus. Finalement, je pose la question wui me nsrgue l'esprit depuis tout à l'heure.
- Pourquoi n'y a-t-il qu'un seul lit?Nous n'allons tous de même pas coucher dans le même!
- Pourquoi? Je suis sûr que vous apprécieriez, me susura-t-il tout sourire.
Son petit air arrogant et supérieur me gêne vraiment, je vais lui dire à lui ma façon de penser!
- Hugo, si je me rappelle bien, commençais-je enragé. Je ne puis supporter vos affront que vous me faites depuis notre arrivée à l'auberge! Moi qui pensait que vous étiez un homme charmant... Maintenant, si vous le voulez bien, je vaid me retirer pour trouver un autre endroit pour dormir et, s'il le faudra, ce sera sur le sol!
De plus en plus de mauvais poils, je me dirige vers la porte déterminé à ne plus le revoir quand il me retint par le bras tout en m'obligeant à me retourner vers lui.
- Quoi, dis-je tounours aussi énervé sinon plus.
- Je suis désolé des "affronts" que je vous ai fait et je vous promets de ne pas recommencer, en tout cas d'essayer, continua-t-il en souriant, mais je ne me le pardonnerais pad de voud laissez dormir sur le sol seulement à cause que je suis trop arrogant. Donc, restez donc ici et, pour information, l'autre lit est dans le placard finit-il en agrandissant son sourire qui s'étend maintenant jusqu'à ses oreilles beaucoup plus pointus que la normale.
- Je... Euh... dis-je en essayant de trouver une réponse adéquate contre ces aveux qui me rendais l'air encore plus stupide que je ne l'étais déjà et ça, c'est dur!
- Je vais prendre ce bégayage pour un oui donc ma très chère dame, me dit-il en me tendant sa main de façon galante, veuillez rentrer dans votre humble chambre tiut spécialement préparé pour vous, finit-il en gardant son sérieux malgré le coin de ses lèvres qui menacent de remonté d'une seconde à l'autre.
Ne pouvant plus me retenir, j'éclate de rire et rentre dans la chambre en faisant fit de la main de l'elfe. Cherchant dans le garde-robe, je finis par trouver ce que je cherchais. Je mets le matelas, les deaps et l'oreiller à côté du lit déjà présent et, exténué, je m'endors aussitôt que ma tête touche l'oreiller ma fois, assez mou.

Kayla; de l'autre côté des montagnesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant