(NDA : Salut, vous vous attendiez surement à voir la suite après la scène du baiser, désoler de vous décevoir. Ce chapitre est un Flashback. Il est important que vous sachiez le passé de Mila pour comprendre un peu la suite des événements à venir. Les personnages de "Une policière pas comme les autres", vivent tous dans la ville fictif de "Nurwood". La ville voisine est "Vine Woods". C'est deux villes sont situé dans une alternative au État - Unis, appeler "Etats pas du tout Unis" Au moment ou Eva et Mila se roule des pelles, nous somme en Octobre 2016 et Eva est née en 1999 le 24 Décembre ce qui fait qu'elle va avoir 17 ans en Decembre. Mila elle en a 25 et va en avoir 26 le 13 Novembre, Demi en a déjà 26, Amanda a le même âge que Eva et Mani a déjà 17 ans. Voilà juste envie de préciser :3 )
Flashback point de vue de Mila
17 Mai 2013 - Nurwood, États pas du tout Unis, 15h42 -
Je m'était garer, devant la bibliothèque municipal de Nurwood. De ma voiture je fixait cette bibliothèque, je souffla et était sortit de ma voiture à contre coeur, pour ensuite me diriger vers les portes d'entrer.
Je venais de m'inscrire avec Demi, en école de police national. L'admission n'étant pas sur dossier, il avait fallu que je me mette à réviser pour réussir mon concour d'entré. Le concour d'entré en école de police nationale ce faisait en deux partie. La première était plusieurs test sur plusieurs jours sur 3 matière : Les mathématiques, le francais et l'anglais. Et la deuxième partit ce faisait sur deux jour pour évaluer les capacités physique et mentale du candidat.
C'est Demi qui m'avait conseiller cette bibliothèque, dans laquelle je n'avait jamais mis les pieds, pour la belle et bonne raison que je détestais aller à la bibliothèque. Je détestais lire, je détestais écrire et tout ce qui était en rapport avec l'ecole. Autant vous dire que la motivation ni était pas, mais Demi m'avait presque jetter de chez nous en pretextant qu'elle nous voulait pas me voir rater mon concour. Et moi non plus d'ailleurs. Alors me voilà.
J'étais entré dans cette petite bibliothèque de pas grand chose. Elle était vraiment pas si grande que sa je me rappelle encore de la couleur chaude des murs. Ils étaient d'un orange marron, voir rouge, qui donnait, je l'avoue un atmosphère assez chaleureuse et posé. Même la moquette était rouge, il y avait quelque table similaire à ce que l'on pouvait avoir au lycée et des rangé et des rangé de vieux livre à perte de vue. Rien que de les regarder me donnait mal à la tête. La lumière jaunâtre au plafond était vraiment relaxant mais le faite qu'il n'y ai pas de bruit dans ce genre d'endroit m'agacais.
Sans plus attendre quoi que ce soit, je m'étais diriger vers la section littéraire, quitte à commencer par quelque que chose, le francais me semblait être une excellente idée vu que je haïssais le francais. Pour moi, c'était la chose la plus degeulasse que l'on puissait enseigner à l'école. Je préférais de loin les mathématiques.
En arrivant dans la section littéraire, je m'étais mise à chercher tout ce qui pouvais me rappeler le lycée. Avec tout ces vieux auteur à la con déjà morts genre : Voltary, Zolala, Blazé ou encore MaLarYNADE ?
"Tu...tu veux dire Voltaire, Emile Zola, Honoré de Balsac et Molière ?"
Au début je n'avais pas vraiment fait attention à cette petite voie de jeune fille, je pensais que c'était juste mon subconscient qui me corrigeait. Mais c'est en sentant une présence à mes côtés, que j'avais jetter un coup d'oeil à ma droite et que mon regard tomba sur un paire de prunelle noisette.
Avoir le souffle coupé c'est impressionnant, mais sa l'est encore plus quand vous l'avez par rapport à la beauté de quelqu'un. Vous lutter et lutter pour pouvoir ouvrir votre bouche et parler, dire à quel point cette personne est magnifique physiquement. Mais vous ni arriver pas. Pour moi le souffle coupé signifie pas simplement trouver quelqu'un belle mais plutôt ne pas trouver les mots pour le lui dire, tellement elle est...Et qu'il n'y a pas de mots dans la langue français assez fort pour pouvoir le lui dire. Le souffle coupé...
VOUS LISEZ
Une policière pas comme les autres ?
RomanceMa vie pue la merde. Je n'ai jamais douter du faite que je suis lesbienne. La n'est pas le soucis. Le soucis c'est que je n'aurais jamais pus imaginer rien qu'une fois que mon premier baiser serai avec une policière a 15 ans, que je recroiserai cet...