CHAPITRE 27 -Petite discussion avec Tante Ariella-

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Point de vue de Mila.

Bizarrement je ne lui en veut pas. Je sais se que sa fait de se sentir incomprise et surtout désespérer. Mais avant même que je puisse lui dire que tout aller bien et que ce n'était pas grave. Eva était tomber dans les pommes. Moi et Demi aider de Amande et de Mani, l'avions rattraper avant que sa tête ne puisse percuter le sol. 

Je savais que je n'aurai pas du, résultat elle a complètement péter un câble. J'ai complètement arracher tout ces secret de son jardon secret. J'ai même pas était subtile, quel imbécile ! Et ma culpabilité c'était encore plus agrandi, quand j'avais vu le regard de haine que m'avais lancer Mani après.

"Tu vois ? C'était facile de ne pas en parler, mais ta fait tout le contraire. Je veut plus jamais que tu lui parle de sa,  jamais." Voila se qu'elle m'avait dit avant d'appeler la tante de Eva et de l'accompagner elle et Amanda chez elle, quand Eva avait repris connaissance.

J'avais sentit la main de Demi sur mon épaule mais je lavais tout de suite retirer en lui disant.

"Tu vois ? Je savais que je n'aurai pas du."

"Tu a fait sa pour son bien Mila, elle aurai finir pas le savoir et pui-"

"Laisse moi tranquille."

Après toute cette putain d'histoire, j'était rentrer chez moi.


Je passe toute l'après midi assise sur mon canapé a regarder la télé, qui n'est même pas allumé. Je me met même a parler toute seule.

"Putain de merde je commence a devenir folle." 

Et si elle ne m'aimais plus ? Bravo Mila quel débile t'est vraiment,  je te félicite. Ta fait pleurer la fille que t'aime, puis elle est tomber dans le vapes a cause de toi, pour renchérie sa meilleur amie t'en veut a mort et tu parle toute seule. Félicitation j'ai le droit a un oscar. l'Oscar de la fille la plus conne au monde putain ! Mais qu'est ce que je vais faire ? Il faut avant tout que j'arrête de paniquer pour rien. Peut être que je devrai aller chez elle ? Non, non, non mauvaise idée. Ou peut être que si ? Non ? si ? non ? si ? si !

Je me lève d'un coup et commence à m'habillé,  j'ai l'impression que je fait une grosse erreur mais il faut que je sache si elle va bien ou pas et je me sentirai vraiment mieux si c'est le cas.

En arrivant chez elle je sort de ma voiture, un grand bouquet d'Orchidée a la main. Merde je sais a qu'elle étage, elle habite, mais j'ai peur. Je sais même son numéro d'appartement mais je flippe. Et si finalement se n'était pas une bonne idée . NON ! tu te défile pas c'est pas le moment la meuf que t'aime et dans cette immeuble il faut la reconquérir !

 Tel une princesse charmante, je monte les escaliers 4 a 4 vu que l'ascenseur,  en même temps est en panne . Arriver devant son appartement en sueure,  je me force a toquer. De longue seconde qui me semble être une éternité s'écoule, avant qu'une femme avec quelque ride mais qui fait tout de même jeune m'ouvre la porte une cigarette a la main.

"Mila c'est sa ?"

Mais comment elle connait mon...

Avant même que je dise quoi que se soit, elle m'arrache mes belle fleure bleu de la main, les jette part terre et les écrabouille.

PUTAIN MES ORCHIDÉE MAIS ELLE EST MALADE SA MA COÛTER LA PEAU DE MA CHATTE SA MERDE !

"Je crois que toi est moi avons besoin d'une petite discussion, jeune fille vient par la."

Cette vielle dame me prend par l'oreille et me force à rentrer dans l'appartement.

"AIE AIE AIE." Ces ongles rentre presque dans ma peau. Elle est folle !

"Assis."

Elle me jette sur le canapé et je m'assoie de façon assez robotique en mettant mes main sur mes cuisse et en plaçant mon dos bien droit contre le moelleux canapé qui m'avale presque.

La vielle dame s'assoie sur la table basse devant moi. Elle tire sur sa cigarette avant de m'asperger d'une énorme bouffée de fumée de cigarette qui me fait tousser.

"Moi c'est Ariella je suis la tante de Eva."

"B...Bonjour moi je suis-"

"Je m'en fiche je sais qui tu est."

"Ah b-"

"Il était une fois, une fille se prénommant Eva. Une très belle petite fille et très gentille. Malheureusement elle était lesbienne vois tu. Elle s'en voulait comme pas possible, même si il n'y avait pas lieu d'être. Ses parent, était d'horrible parent qui n'aimaient aucunement tout ce qui se référençait à l'homosexualité. Un jour cette petite fille a pris son courage à deux main pour leur avouer le faite qu'elle aimait les filles, croyant que ces parent comprendrai. Terrible erreur de sa part. C'est parent l'on insulter et on quittait la maison chacun de leur côté, en laissant la tante de la jeune fille s'occupe d'elle. Il ne sont plus jamais revenu. La petite fille s'en voulait terriblement d'avoir détruis toute sa famille et de ne plus pouvoir voir ces parent. Elle changea et ne souriait plus, ne rigolait plus. Rien n'avait d'importance pour elle. Jusqu'à ce qu'elle rencontre une merveilleuse princesse charmante. Au cas ou tu n'aurai pas compris c'est toi connasse."

J'hoche la tête.

"La petite fille repris gout a la vie et se remise a rigoler. Elle avait enfin trouver quelqu'un qui l'aimait telle qu'elle était. Quelqu'un fait pour elle. Est ce que tu vois ou je veut en venir ?"

Oh oui je voit ou elle veut en venir. Je comprend mieux pourquoi Eva ne me parle jamais de ces parent. Elle n'en parle jamais car enfaîte il ne sont plus la. Il l'on abandonné. Mais comment des parent peuvent être aussi mauvais ?

"Oui madame."

"Et est ce que cette magnifique prince charmante aime ma nièce."

"Oui madame."

"Comment ?"

"A la folie madame, elle en est amoureuse."

"hum...intéressant a savoir. La princesse charmante a 10 putain de minute pour réconforter la petite fille et la faire rire de nouveau, si elle n'y arriva pas, sa tante la niquera pigée?"

Putain...

"O...oui madame."

Je commence a me lève, quand elle repris la parole.

"Une dernière petite chose." Je me retourne vers elle. "Si la tante apprend,  que la princesse charmante a eu des geste déplace envers sa nièce sous sont toit, elle éteindra sa cigarette sur le tout petite morceau de chaire qui serre de clitoris a la princesse charmante. C'est clair ?"

J'avale difficilement ma salive.

"O...oui madame, clair comme de l'eau de..de...robinet."

"Tu veut dire comme de l'eau de pierre ?"

"Non je crois que c'est comme de l'eau de roche mais je suis pas sur."

"Bref c'est pas grave, comme de l'eau de robinet c'est pas mal non plus."

Je sort du salon. Bon j'ai 10 minute pour la réconforter...


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Clair comme de l'eau de montagne...comme de l'eau de pluie...comme de l'eau de bouteille d'eau...comme de l'eau de, oh et puis merde chai plus...

PIECE...AND LOVE !

Une policière pas comme les autres ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant