XIII

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"Pour savoir pardonner savoir oublier pour savoir oublier faut savoir aimer"












Quand le médecin, il m'a dit que Farès était sorti d'affaire franchement comment vous dire que j'étais soulagé au MAX.

Mais quand j'ai appris qu'il était mit dans un coma artificiel et que son état peut se dégrader du jour au lendemain là ça m'a fait moins rire.

Le médecin - Le patient à faire une hémorragie non seulement quand la balle la transpercée mais aussi pendant l'opération. Donc ceci nous à fait une tâche encore plus importante.

Le médecin - Il a perdu beaucoup de qang, donc pour l'instant il lui reste le minimum pour tenir. Donc je voudrai savoir qui est compatible avec monsieur.

   Pendant quelques secondes on s'est tous regardés genre "Bon qui se lance"

La mère à Fares - Monsieur personne est compatible Fares est un O+

    Oh putain. Encore une galère qui se rajoute en plus.

La mère à Farès - Ah Allah je laisse mon fils entre tes mains.

   J'étais entrain de réfléchir à la situation quand je me suis souvenu que moi aussi j'étais une O+

- Monsieur !

Le médecin - Oui mademoiselle ?

- C'est juste pour vous dire que je suis compatible avec monsieur Fares Merh**

Le médecin - Parfait donc je vais devoir vous demander de me suivre pour faire quelques testes et procédé à la prise de sang.

- D'accord, je vous suis.

Donc je vous passe les prises de sang. Après ça partout sur mon avant bras j'avais des tâches violettes ! Franchement c'était pas une vie !

Bref avoir l'unes de mes pires soirées je décide de rentrer (j'étais venu avec ma voiture). Donc je prends les soeurs et la mère à Farès avec moi.

Pendant le trajet personne parlait et je comprends on était tous mort de fatigue.

La mère de Farès - Merci benthi de ce que tu as fait pour mon fils. C'est vraiment un acte de courage et de générosité. Que Dieu te protège et qui préserve.

- Merci c'est gentille madame.

La mère de Farès - Appele-moi khelti ( ça se dit comme ça?) ou tata Mounia, oukty !

- D'accord tata.

    Bref je l'ai raccompagnée chez elle puis je suis directement rentrer chez moi. Comme tout le monde étaient endormi j'ai suivis le chemin 😴

17h20| 🕔

Je me réveille avec un mal de crâne atroce. Je prends mes affaires et je pars directement à la douche.

Ma douche terminer j'enfile un jogging et un simple t-shirt pour rester à la maison.

Je suis partis prendre à manger quand je vois le grand corps d'Andy se pointer devant moi.

Andy - T'étais où hier toi?!

- J'étais à l'hôpital.

Andy - Tu fessais quoi à l'hôpital ?!

- J'étais partis parce que y'avait fusillade.

BIM UNE GIFLE POUR DANA

Andy - Tu crois chui née de la dernière pluie ou quoi?!

- Pourquoi tu me gifles?! Tu crois je te mens?! Puis il est où ton problème à toi retourne dans ta salle de sport et fait pas chier.

Au même moment où j'allais y passer mon père il a débarqué comme une fleur. MON SAUVEUR

Papa - Il se passe quoi ici ?!

Andy - Papa Dana, elle commence trop à prendre ses aises. Depuis quand elle sort pur revenir le matin comme ça ? Si elle veut faire la pute je préviens c'est pas ici.

- Mais ferme là. Tu sa..

Papa - ÉKOKI ! ( Ça suffit) Bo yoka n'ga bien. Na lingi bo sowna awa té bo yoki?! NA N'DAKO NA N'GA TÉ. (Écoutez moi bien je veux pas que vous vous embrouillez ici. Pas dans ma maison). Dana c'est quoi de rentrer à des heures comme ça?!

- *Je commence à lui raconter de a à z bien sûr j'ai mentis en disant c'était un inconnu pour pas me faire découper*

Papa - Il va bien j'espère ?

- Ouais pour l'instant.

Papa - Ah d'accord.

Je me suis pris à manger sous le regard médusé de l'autre connard.

Andy - Toi fait la maline je te surveille.

Je préfère même pas le calculer j'ai pris ma bouffe et je suis rentré dans ma chambre.

Comme mon portable je l'ai pas calculer depuis hier donc je l'ouvre et je vois des tonnes des messages. Je réponds à tous mes messages sauf à ceux des inconnus.

Je vois j'ai plusieurs appels de Amel, de certains potes de l'école et d'inconnus. On m'aime trop à ce que je vois.

Donc je réponds à tout les messages et j'attaque mon assiette.

[..]

J'étais à deux doigts de m'endormir quand je sens mon téléphone vibrer. Je réponds pas les gens ils savent pas y'à des heures pour dormir.

J'essaye de retrouver mon sommeil quand je sens encore mon téléphone vibrer plusieurs fois d'affilée.

- Putain je peux plus dormir en paix.

Je prends mon téléphone et je réponds.

- Allô ?!

- Allô sale pute !

Tshiiip les gens ils m'appellent pour m'insulter.

- Ferme ta race, t'es malade d'appeler à cet heure-ci t'as rien d'autre à faire?

- Parle bien.

Quand j'ai reconnu sa voix bizarrement je me suis directement calmer.

Vous accrochez toujours mal grès l'absence?!

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• Rebeu, renoi un amour possible ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant