Chapitre 1 partie 3: Ce n'est même pas le début

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Le coup de feu qui a retentit était bien destiné au chef, sa tête explosa et son corps tombât lourdement au sol, Ariad et Benoit était choqué, ils eurent un pincement au coeur en se souvenant du chef, les autres policiers voyant cela ceux levèrent et commencèrent tous a vouloir ce battre, ils prirent leur bouclier et se mirent en formation, l'homme de l'armée donna l'ordre :
- "Tirer a volonté".

Les balles sifflées, Ariad aperçu une fille qui pleurait et décida d'aller la protéger, avec son bouclier face aux homme de l'armée, il avança vers elle et se mit devant, mais le chef visa Ariad, avec un air sadique, un sourire sadique, Ariad avait déjà la rage contre lui alors qu'il ne le  connaissait même pas, Benoit gardez sa position, comme les autres.
Mais les boucliers se brisèrent sous le feux ennemie, certains hommes tombèrent.

mais les tirs s'arrêtèrent, les policiers regardèrent dans les yeux des homme de l'armée.

-Vous m'impressionnez, alors que votre chef est mort, vous continuez a vous battre...          pa-te-thique, qu'est ce que vous allez faire, en a les armes vous n'avez rien.

il fit un signe à un de ces hommes, un bruit mécanique, un gros bruit de moteur, la peur se soulevaient dans le cur des policiers, le bruit se rapprocher de plus en plus rapidement, brusquement et rapidement un tank sortit de derrière les voitures de l'armée, les policiers virent le bout du canon se tourner vers eux.
-"chargez......"
Ariad attrapât la fille appela Benoit et sautât du pont, Benoit courut pour le suivre.
-"Tirer".

il us à peine le temp de sauter que le tank tirât.

Le pont s'effondra dans le torrent et au moment du saut de Benoit il fut propulser un peu plus en avant d'Ariad, des débris fut propulser, la fille montât sur le bouclier pour ne pas ce noyer mais un débris heurtât sa tête, Ariad fut aussi heurté par un débris.

*Flash blanc*  (et non flash-back).

Ariad était dans un hôpital, il était venu voir deux amies mais en rentrant dans la chambre, ces amies n'était plus la et toute les lumières s'éteignit. Il fessait sombre dans les couloirs de l'hôpital, la seul source de lumière étaient des lumières rouges inquiétante clignotant...
Et au bout dû couloir,il les vit, d'abord Il déborder de joie en les voyant, mais ils étaient comme transformaient, ils coururent vers lui et lui sautèrent à la gorge.

Il se réveilla en sursaut, il était térifié, ils étaient sur une rive de la rivière, trempé, juste derrière il y avait une forêt, Ariad étais étourdie, il regardât Benoit en tournant la tête mais ensuite en tournant la tête de l'autre coté il ne vit pas la fille, il commençât à paniqué et à se poser des question, il la chercha, ne connaissant pas son nom il crié en l'appelant "la fille", mais en regardant par-terre il vit du sang, il se dit que c'était surement le sang de la fille lorsque les débris lui avait cogné la tête, en pensant à cela lui aussi d'un coup sentit la douleur du coup qu'il avait pris, Benoit c'était réveiller et le suivait juste derrière.

-Qu'est ce qu'on fait la ? Demandât Benoit

-En a dû se faire emporter par le courant jusqu'ici, en à dû s'évanouir lors de l'explosion à cause des débris .
*en se tenant la tête *

-Ou est la fille? *froncant les sourcils*

(Moment de silence dû à là confusion)

-...Je ne sais pas justement je la cherche, elle doit sûrement saignée, donc il faut faire vite.

Les traces de sang étais petite mais fraîche, en s'enfonçant  un peu plus dans la forêt, il fessait de plus en plus sombre, la nuit tombe et les feuilles des arbres son épaisses.
Ils entendirent un cri, c'était surement celle de la jeune fille, ils couraient vers la direction du cri, en arrivant la-bas Ariad vu la fille a terre avec le bouclier dans les mains et une de ces choses essayant de la tuer, elle le bloquer avec le bouclier, Ariad n'avait aucune arme mais il décidât de charger la bête car elle ne tiendrait plus très longtemps.

Survivre pour un autre lendemainOù les histoires vivent. Découvrez maintenant