{[je vous propose, que dit-je, vous invite à aller relire la partie précédente, pour vous remettre dans le bain, merci]}
Et aussi la partie description qui serait bientôt mise à jour.Benoît et Ariad étaient placé devant la fille et en face de ces bêtes.
Côte à côte, bouclier lever, avec la peur au ventre, qui pouvait même se lire sur leur visage.
Cela est normal, devant la mort, personne ne resterait fort.
Ils étaient confus, même plus, ils étaient déconcerté, ils ne savaient pas quoi faire.Ariad, dans sa tête priai, il est chrétien, même si avant, il oublié souvent de prier,
Lorsque la peur s'emparait de lui, il ne l'oubliait pas.Il pensait à la fille, qui devait être terrorisé devant cette...cette horde.
Mais il ne se retournait pas par peur que tout se déclenche d'un claquement de doigt.
Pour Benoît, c'était les mots de cette homme,
Il essayait de se persuader qu'il n'avait fait que son travail,
Mais les images qui revenait dans sa tête s'empirer à chaque fois qu'il y pensait.Pour eux, cette instant semblait durer une éternité.
Même si elle n'avait duré que vingt-cinq seconde. (Et encore...)Durant ce court laps de temp, les bête féroces,
Sur le corps de l'homme, venaient de finir de le dépecé de ses entrailles.
Elles se tournèrent vers nos deux policiers, pendant que les autres se jetèrent sur le corps encore chaud.
Elles étaient seulement cinq tournée vers eux en avant, les autres rester en arrière.Benoît était troublé par cela,
"Pourquoi ne nous en t-il toujours pas sauté à la gorge?"
Se demandait-il.Mais soudain, une des cinq bêtes se mit à crier, un crie rauque et puissant, et tous fit la même chose.
Cela confirma que s'était bien la peur qui leur fessaient mal au ventre et non une indigestion,
La boule qu'ils avaient dans le ventre s'était intensifié, le crie de l'homme qui s'était fait manger vif,
N'était rien comparer à ceux la, des cries de douleur? De souffrance? Ou de rage ?
Ceux n'étais pas ce que se demandaient nos trois amies, juste sachant qu'ils allaient mourir, se terrorisé en pensant si cela seraient rapide ou douloureux.Ces choses se mirent à chargez,
Ariad et Benoît se tenaient prêt pour le choc,
Même si ils savaient que cela serait vain.
La mort elle même était venue les chercher.
"La fin déjà ?"*NON*
Un bruit lointain se rapproché rapidement, il était de plus en plus fort, cela ressemblé à un Klaxon, mais un Klaxon puissant, celui d'un... camion, brusquement une semi-remorque fonça dedans cette horde, sur ceux qui étaient le plus proche d'eux.
Des bruits de fracas sur le camion se fit entendre,
Le capot du camion était fortement cabossé, avec des impacts de balles, certains de ces monstres était mort sur le coup, et comme l'autre, avaient des spasmes violents et d'autre étaient encore entrain de bougé et crié même si ils étaient en mauvais état.
Cette semi-remorque transportait un conteneur, il était ouvert.
Une silhouette sortit de la cabine du camion, sortit une arme de derrière elle et visât vers leur direction, ils ne savaient pas si leur sauveur présumé n'était qu'enfaite un autre danger à faire face.Un coup retentit, non pas comme celui du Pont, mais contrairement à ce que penser Ariad, la balle ne leur était destiné, mais elle était destinée à une de ces choses qui se trouvaient derrière Benoît. Un moment d'hésitation avant que Benoît eu l'idée de courir vers le conteneur du camion, il fit un mouvement de tête à Ariad pour le dire de le suivre, Ariad comprît mais avant de s'élancer regardât la fille qui était pétrifiée de peur, Il décidât de la prendre par le poignet et de courir.
C'était sûrement l'adrénaline qui permit à Benoît et d'Ariad de ne pas se faire attraper par ces choses.
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Survivre pour un autre lendemain
Teen FictionAriad, lui, n'était qu'un bleu, au poste il ne ferait rien de plus que de remplir et ranger les dossiers, avec son amie, Benoît. Ils ne s'attendaient pas que leur première fois sur le terrain, serait aussi...original et aussi sûrement leur dernière...