Mariée à un terroriste

Cincuenta y siete

Là commissaire - J'aimerais vous garder à mes côtés un peu plus longtemps mais je dois tenir ma promesse. Qui était que je devrai vous relâcher dès que vous auriez témoigné . Alors demain à la première heure vous serez relâché.

À l'entente de cette nouvelle je me suis immédiatement mise à pleurer. Je me disais que ce calvaire allait enfin ce terminé et que je serais libre .

Là commissaire - Vous êtes si heureuse de me quitté ? ( avec un sourire chaleureux)

- ( en me reprenant petit à petit ) owh non au contraire car vous avez été dans cette prison la personne qui a été la plus gentille avec moi .

Là commissaire - je n'ai fais que vous saluer durant ces trois mois.

- et je vous assure que c'est beaucoup par rapport aux autres.

Elle se contente de me lancer un sourire puis de dire au garde de me raccompagner dans ma cellule. Pour la première fois depuis mon arrivée je m'endors avec le sourire au lèvre . Juste le faite d'imaginer que demain je serais libre me faisait un bien fou .

Le lendemain je me suis faite réveiller pas un garde . Il m'a dit de le suivre alors je me suis levée pour m'exécuter. Je voie qu'il m'amène dans une salle ou il y a la tenue avec la quelle je suis arrivé ici . Donc il y avait posé ma gandora vert et mes claquettes . A cette image mon visage c'est illuminé.

Le garde - tu te change et tu sors . Je t'attends devant la porte .

Je n'ai même pas eu le temps de le répondre qu'il était déjà sorti alors je me suis empressé d'aller me changer . En me changent je remerciais Dieu d'avoir porter cette tenu ce jour là car si j'aurais mis un jeans. Je pense que je n'aurais même pas pu le mettre à cause du volume de mon ventre . Bah oui entre temps ma princesse a eu le temps de grandir .
Quand j'eu fini de me changer je suis sortie de la salle et je tomba nez à nez avec le garde .

Quand nous sommes sorti dans la cour je vie beaucoup de prisonnière . C'était la première fois que je les voyais car quand je pouvais sortir dans la cour celle-ci était vide . J'étais ravi de voir du monde car ça faisait longtemps que j'en avais pas vu . Mais en dirait qu'elles n'étaient pas du tout ravi de me voir .
Sur mon chemin vers la sortie j'entendais quelques-uns de leurs discussions et elles étaient toutes porter sur moi :

1?- c'est elle la femme du terroriste !

2?- la pauvre à sa place je me serais déjà pendu

3? - en plus elle est enceinte

2?- je plein déjà son enfant.

Cette phrase m'a beaucoup blessé alors j'ai préféré continué ma route sans les écouter.