Ce matin-là, Peter était de bonne humeur, pour une fois, en même temps, je le comprenais parfaitement, quand on voyait Anastasia on avait l'impression que tout ce qu'il se passait autour était bien. Nous étions en train de déjeuner, tranquillement, Lucie toujours aussi bavarde le matin, elle complimentait Anastasia, qui je dois dire, était vraiment très belle. Mais ce moment de tranquillité fut perturbé, par la chaise d'Anastasia, qui grinça sur le sol. Elle s'excusa au près de son grand père et partit en courant le plus vite possible. Il eut un grand blanc, Peter perdu aussitôt son sourire enjoué. Le Professeur nous confessa que sa petite fille était bien souvent étrange et restait par moment stoïque face à certaines scènes, il ajouta qu'il ne fallait pas que l'on s'inquiète pour elle, qu'on la verrait réapparaître dans peu de temps. Après ce cours épisode, on décida d'aller jouer dehors, on entraîna Peter de force puisqu'il n'avait vraiment pas le morale même avec le grand soleil qui faisait cette journée-là, on joua donc au base-ball. Lucie était en train de lire et Susan, Peter et moi, on tapait quelques balles, jusqu'au moment où Peter tira la balle et que cette dernière passe à travers d'une fenêtre, tous ça par le manque de concentration de mon frère. Madame Mac Craidy se mit à hurler dans tout le manoir, qu'elle nous aurait, et elle nous courra après. Nous ne trouvions pas d'endroit où nous cacher pendant que la colère de Madame Mac Craidy passe, Lucie nous amena donc dans la fameuse pièce dont elle nous avait cassé les oreilles la veille au soir. Je pus constater qu'il n'y avait qu'une seule armoire dans cette "chambre d'amis". Les cris de la femme qui nous poursuivait, nous revint à l'esprit et on ne chercha pas longtemps pour rentrer dans l'armoire, qui selon Lucie était magique. On se mit à se crier les uns sur les autres car on se marchait dessus et qu'en plus qu'il fasse tout noir il n'y avait presque pas de place pour qu'on puisse se tourner. Malgré cela, je sentis un courant d'air froid. Lucie, Susan, Peter et moi-même , tombions dans la neige.
« - Alors qui est-ce qui avait raison ? Demanda Lucie avec un grand sourire victorieux au coin de sa bouche.
- Excuse-moi Lucie. On est sincèrement désolé de ne pas t'avoir cru. »
Peter... Désespérant, comme si elle allait lui pardonner de tout ce qu'il a pu lui dire avant. Pour montrer qu'elle lui avait pardonné, il se prenna une boule de neige en pleine tête. Et une longue bataille de boules de neige commença entre mes sœurs et mon frère, je restais en retrait, j'aurais tellement aimé qu'Anastasia soit avec nous, Peter se serait mieux tenu. Après cette bataille, on s'engagea sur un chemin, on marcha avec beaucoup de difficultés car la neige était profonde. Lucie voulait absolument nous présenter à monsieur Tumnus, qui pour elle était comme un gardien. Elle nous raconta tous ce qu'elle avait apprit sur ce monde bien étrange, elle nous parla d'une sorcière et d'où elle habitait, ce qui à cette entente me donna une soudaine envie de la rencontrer alors que je ne la connaissais pas, je ne savais pas d'où cela pouvait venir. Mais quand on arriva cher ce Monsieur Tumnus, une perquisition et une arrestation, étaient accrochées sur une porte défoncée, elle était au nom de « Tumnus », quoiqu'il en soit, qui qu'il puisse être, il ne devait pas être si honnête que ça pour qu'il soit arrêté.
Je sortis dehors car l'intérieur était sombre et morbide, les autres me suivirent, puis dans les sanglots de Lucie, on put entendre des sifflements d'animaux. Derrière un tas de neige, un castor sortit et commença à s'approcher avec méfiance.
« - Petit, petit ! Commença Peter en lui tendant sa main.
- Je ne vais pas vous la sentir si c'est ça que vous attendez ! Nous surprenna le castor comme si c'était tout à fait normal que les animaux parlent »
Peter fit une drôle de tête et recula aussitôt sa main par surprise. Le castor nous posa pleins de questions sur nos origines et nous expliqua pourquoi monsieur Tumnus avait été arrêté, il nous demanda de le suivre car l'endroit n'était pas sur pour qu'on puisse continuer la conversation, Lucie murmura « Il parle des arbres ».Peter accepta donc de le suivre comme un idiot, on suivit le castor jusqu'à sa maison où de la fumée sortait de la cheminée, le terrier était très accueillant à l'intérieur même si vu de l'extérieur il n'en avait pas l'air. Sa femme nous attendait, elle était au courant de notre arrivée, elle avait préparé du thé et des sardines grillées.
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Remake NARNIA
Ficção AdolescenteJ'ai écrit ce remake il y a un petit moment déjà, j'espère qu'il vous plaira. (quelques trucs à savoir avant de commencer à lire. Je tiens à m'excuser par avance de la syntaxe de certaines de mes phrases ou encore de mon orthographe. Ce remake, com...