Ce matin au bureau, seul, je me
préparais pour la conférence. Je pris
ma veste et mon téléphone avant
d'entrer dans la voiture. Mason me
fixais ce qui me gênait plus que tout.
-" Tout va bien pour vous, monsieur ? Demande-t-il
- La nuit était longue Mason. Emmenez-moi. "
Il démarra la voiture. Ce vieux
monsieur me connait décidément par
coeur. C'est vrai que j'ai plus ou
moins vidé ma bouteille de vin hier
soir. Mais c'était surtout pour oublié
la situation plutôt gênante chez la
rousse.
La conférence avait lieu à Manhattan.
J'y ai vu tout les bureaucrates et
nombreux hommes d'affaires qui
régnait déjà dans l' Upper East Side.
J'entrai dans la salle et j'avoue que
Hollande fut la première personne
sur laquelle mes yeux se posaient.
Mais, elle détourna très vite le regard.
Elle se leva pour me donner la
paperasse dont j'avais besoin et s'en
alla aussitôt. Encore une fois elle
aurait pu faire un effort
vestimentaire. Heureusement que ses
cheveux sont lâchés, ça lui ajoute un
petit coup de fraîcheur.
À la fin de mon speech, les gens
applaudirent et je sortis suivis par la
rousse.
Les portes de l'ascenseur se refermait
dans un silence angoissant.
-" Je vous en prie ne soyez pas fâché, monsieur.
- Je devrais l'être ?
Elle se tue enfin. Agacée par ce silence,
je bloquais la cabine entre le
neuvième et le huitième étage. Je la
plaquai doucement au mur, la main
sur son cou.
Elle ne dit rien. Je captais toute son
attention rien qu'avec mon regard.
Elle leva les yeux en l'air.
-" Qu'es-ce que tu caches derrière tes cheveux ?
À ce moment là, elle se dégagea et
redémarra l'ascenseur. J'avais déjà vu
le bleu derrière sa nuque.
- Cela ne vous regarde pas, monsieur. Dit elle tout haut.
- Oh vous parlez maintenant ? Demandais-je ironiquement.
Elle s'approcha encore plus :
- Cela ne vous je regarde pas, aurevoir monsieur."
Je sortis juste après elle, juste pour
mater son cul une dernière fois. Je me
suis même permis de lui frôler juste
pour le plaisir.
Je la veux dans mon lit. Non. Enfin si.
Je ne sais plus.
VOUS LISEZ
Bad Love.
FanficS'il vous plaît les filles, les hommes ne sont pas tous des emmerdeurs. Ce sont aussi des gamins, des cons et des abrutis. Puis, les filles sont toutes les même au fond. Toutes amoureuse de ma fortune. Toutes en transe devant Mr. O'Brien, le salop...