Au XIX° siècle, haute société londonienne. Elizabeth vit en campagne avec son père Lord Thomas Ashwood et sa petite soeur Annie. Un jour ce dernier décide mystérieusement de se séparer de ses filles... Confrontées aux vérités cachées d'un père mysté...
En ce 6 juillet 1893 je me préparais à partir pour le périple le plus trépidant et inattendu de toute ma vie...
Il était déjà 15h passées lorsque père vint me chercher en me disant de me dépêcher car le temps pressait. Je n'avais pourtant qu'une seule envie : rester encore longtemps à me préparer, seulement pour l'énerver. Je n'en revenais toujours pas : le père, que je chérissais de tout mon coeur depuis la mort de ma mère, me renvoyait de chez moi pour aller chez son plus fidèle ami Lord De-La-Vallière sans aucune raison valable...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
(La demeure des Ashwood : Edenbrook)
Quinze jours auparavant...
Le 20 juin, je profitais, comme à mon habitude, des vertus que m'offrait mon magnifique jardin, lorsque Betsy, ma femme de chambre, vint me chercher. Il faisait si beau, les rayons du soleil caressaient mon visage, il ne faisait ni trop chaud ni trop froid, un vent doux se promener entre les grand chaines.
Betsy arriva à ma hauteur :
" - Mam'selle vot' père vous demande. Dit-elle avec un chaleureux sourire.
Comme je ne répondis pas elle repris la parole.
- Il dit qu'c'est important, s'expliqua-t-elle.
- Bien, je vous remercie Betsy. A-t-il donné des précisions quand à la raison de soudain entretien ? M'enquis-je curieuse mais distraite.
- Non Mam'selle, il vous attend dans la bibliothèque, s'empressa-t-elle d'ajouter.
- Très bien, j'arrive, dis-je en me levant "
Nous nous dirigeâmes vers la demeure. Je voulais savoir savoir ce que voulait me dire mon père de si important mais j'étais de trop bonne humeur pour m'en soucier sérieusement. Betsy me laissant au niveau des cuisines, je continuai mon chemin vers la bibliothèque seule. Je frapai à la porte, mon père m'invita à entrer.
