Arrête, arrête, arrête ça
Le vent souffle
Mes rouages s'essoufflent
Dans mon cœur
Tout va à cent à l'heure
La règle sur laquelle ma vie a été basée
Doucement, tu l'as brisé
Ça a tout anéanti
Je ne sais plus qui je suis
Ni où je vais aller.
J'étais assise sur un banc
Je ne voyais rien de réjouissant
Au fait de s'envoler
Et de vivre pour de vrai.
Puis la bourrasque est arrivée
Et a commencé à me réveiller
J'avais envie de vivre, j'allais commencer
Mais ça n'a pas duré
Car une bourrasque ça reste une tempête
Et une tempête, même si ce n'est qu'une bourrasque,
Ça fait mal à un cœur à peine saignant.
Mes yeux se sont ouverts
Sur le monde, sous un nouvel angle
Mais la seule chose que je vis
Fut un jour de pluie.
Pourquoi avoir ouvert les yeux
Sur un paysage si malheureux ?
De plus que la voix qui m'a susurré
De m'éveiller
Était partie à mon réveil
Qui fut des plus douloureux.
En revanche la bourrasque
L'ombre même de la voix
Le côté sombre de mon éveil
Avait laissé sur moi
Une empreinte.
Mes yeux passèrent d'un noir rassurant
À la douleur de la vie maintenant
En un instant.
Ne laissez personne vous ouvrir les yeux
Rappelez vous qu'il est dangereux
De faire aveuglément confiance
Et même si vous pensez
Avoir raison de l'écouter
Rappelez vous qu'au fond de vous
Vos yeux sont encore fermés.
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Quand Le Coeur S'exprime
PuisiQuand le cœur s'exprime, bah c'est le bordel ! Si tu penses pouvoir le comprendre, alors je t'en prie, tente le réalisable ; Descends plus bas que ciel et rejoins moi dans les catacombes du temps.