Chapitre 3

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Je commence à sortir ma veste noir, mes baskets puma noir et mes converse montante blanc. Je prend mes tee-shirt et je les range dans l'armoire, suivi de mes jeans.

- Loris....

- Ouiiiiii

- Viend voir s'il te plaît ?

- Oui j'arrive....

Je sort de la chambre pour aller voir Augustin.

- Écoute, je viens de recevoir un message d'Hadès, il veut que je te dise une chose très importante !

- Oui, quoî...qui...a-t-il de très important...?!

- Je vais de le dire, Hadès est ton père...

- Quoî...mais...

- Oui, il t'a enlevé tes pouvoirs quand tu étais petite pour ne pas que Zeus te retrouve...
Je lui coupe la parole

- Mais comme je parie que Priam ma retrouver, il a eu peur et ta demander de me garder,
mais comme tu es le fils de Poseïdon, tu devrais me tuer !!!

- élémentaire, ma chère Watson.
Je ne suis pas comme mon père, je trouve que tu n'as rien fait. Et en plus tu viens juste de découvrir que ton père est un dieux.
Je te le promets, je ne suis pas comme Priam qui est sous l'influence de mon oncle.

- hum...d'accord.... Mais que va tu faire avec moi, je n'ai même pas de pouvoir...je suis sûr que tu vas avoir de gros ennuis avec ton père en plus...

- Ne te mêle pas de sa...tu es trop jeune et innocente pour savoir beaucoup de chose, TU N'AS QUE 15 ANS...
Dit-il brusquement

- Calme toi, je te laisse.

Je pars en direction de ma chambre pour le laisser respirer, c'est vrai sa doit être durent de désobéir à son père, juste pour me sauver. En entrant dans ma chambre je mets mon pyjama et me couche. Et je mets encore à rêver :
Rêve :
C'était une fée qui venez chercher un enfant, et qui le descendit sur terre, elle lui enleva quelque chose du cou le le donna à un petit garçons qui l'accrocha à son cou. Et la fée disparu, le petit garçon de mis à courir vers un village en laissant le petit bébé tout seul.

PDV D'AUGUSTIN :

J'y suis peut-être aller un peut durement, mais elle me saoule avec c'est questions, déjà que je dois la surveiller, et que je dois faire croire à mon père que je suis avec lui, il va falloir faire gaffe.
Demain je lui donnerai son collier.
Et quand je me couche, je vue mon père qui me parlait d'Hadès comme un monstre.

Loris ( PAUSE )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant