Chapitre 4

10 2 0
                                    

Quand je me réveille, il est 8h09
Je me lève et je part dans le salon où je vois Augustin joué avec un pendentif.
C'est le pendentif de mon rêve...

- Hey, Augustin

- Salut, princesse...ça va ?

- Oui et toi... Attend tu m'appelles princesse... tu es bizarre bref j'ai une question à te poser ?

- Ouais ça te dérange... C'est quoi ta question.

- Pour ton information oui ça me dérange on ne se connaît pas. Mais bon le pendentif avec lequel tu jouais, je l'ai déjà vu, dans mon rêve de cette nuit, comment la tu retrouvais.

- Le..pendentif..

- Oui, celui-là ?
Je le montre sur la table

- Hé bin..c'est le tiens!

Mais c'est impossible, cela voudrait dire que je suis le bébé dans le rêve, et que lui c'est le petit enfant.

- Donc tu es l'enfant qui a récupéré le pendentif..?!

- Exactement...mais je dois te le rendre, il est à toi et il détient tous TES pouvoir

- Mais je rêve, mon père est le dieu Hadès, mes rêve deviennent réalité et en plus le pendentif a des pouvoirs qui m'appartiennent.

- Oui...mais tu ne rêve pas......

- Je le savais. Je vais prendre ma douche.

- d'accord, mais attend tient le pendentif...
Il me donne le pendentif

Je part dans ma douche, je vois un produit pour le corps qui sent la vanille, donc je me déshabille et me glisse dans la douche. Elle est bien chaude. Quand tout d'un coups, j'entends quelqu'un crier.
Je sors de la douche et m'habille en trompe. Quand j'entre dans le salon, je vois une personne grande très grande, avec un trident, c'est Poseïdon...
J'entends leurs conversations :

- Fils, que caches tu ? Je sens qu'il y a quelqu'un dans cette maison,
Je frissonne

- Papa, tu dois te tromper, il n'y a personne, en plus se soir je retourne au camps.

- TU ME MENS, je le sens, je suis ton père pousse toi, fils ! Je ne veux pas te faire de mal.

Il poussa Augustin, il le tape, le frappe.
Je prend mon courage à deux mains et sort.

- C'est moi que vous chercher monsieur ? Dis-je

- Qui est-ce ? Répond Augustin ?

- C'est...ma..petite..amie, Papa ?
Il me fit un clin d'œil.

- elle me paraît bien jeune, tu es sûr ?

- Oui sur !

Il s'avance vers moi et m'embrasse avec délicatesse.

- Fils, tu n'as pas le droit d'avoir une petite amie mortel ? Le sais tu ? Tu désobéis à ton père, va au camp tous de suite, je me charge d'elle !

- Non non c'est bon papa, je l'a ramène chez elle.

- Bon d'accord, je te fais confiance.

Un nuage de fumée se forme et il disparu.

Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je vais me faire disputer.

- T'as failli te faire remarquer là !
Il aurait pu te tuer, il faut que tu te calmes, je t'emmène au camps !

- Je te fais remarquer que si je n'avais pas été la il aurait puis toi aussi te tuer. Et puis c'est bien de se faire embrasser pas un homme de 18 ans alors que tant à que 15 la classe.

- Alors là tu te calmes, merci, on ne sortira jamais ensemble je suis trop vien pour toi, princesse ! Aller on va au camps, avant qu'il ne te retrouve !

- Putain tu recommences avec princesse merde ! Ok pas grave, je me trouverai quelqu'un d'autre pour te rendre jaloux. C'est quoi ce quand et qui nous emmène ?

- Arrête de poser des questions, on y va, il y a un pote à moi qui vient nous chercher et qui nous attend dehors !

- D'accord on y va !

Quand je pars rendre ma valise je trouve le pendentif, et je l'accroche à mon cou. Puis je file dehors.
Un homme nous attend dehors ?

- Salut, August, on y va ?
Mais qui et cette belle fille à côté de toi mec ?

- Hey, c'est la fille Hadès, il faut que je la protège.

- Bonjour... Sans vouloir être méchante on se connaît pas donc tu te calmes ok ?!
Nous montons dans la voiture.

- Alors d'accord elle a du caractère ta petite protégée, t'es la fille d'Hadès ?

- Oui et toi, t'es qui ?

- Moi, je suis le fils D'Aphrodite, je m'appelle Peter et toi ?

- Je m'appelle Loris ! Mais j'ai une question à vous posez, pourquoi je me sens toujours la plus petite ?

- Car tu n'as que 15 ans et nous nous sommes majeur.

- A oui, je déteste être petite !

- On avait compris ! Mon cœur !
Dit-Peter avec un aire attentionné...

- Tu ne l'appelle pas comme ça, elle n'a que 15 ans, tu vas la traumatisé, OK ?

- Euh, Ok donc en 1er Augustin je te signale que tu m'appelles princesse donc tes idées tu peux te les garder, je sais me défendre toutes seule, je n'ai que 15 ans mais j'ai l'habitude A l'orpheline  avec les mecs et en 2ème, ne m'appelle pas comme sa Peter, je ne te connais pas et tu ne me connais pas.

-.... ( Augustin)

- Tu te trompes, tous le monde te connais Loris car tu es la fille d'Hadès.

- Ok...

Quand la voiture se gare, je remarque une pancarte qui nous indique que nous sommes bien arrivés...
Au camps

___________________________

Desolee pour Le retard et pour Les faute..

Loris ( PAUSE )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant