25ème Partie

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• On avait pas la même vie et pourtant les mêmes objectifs •

Quelque mois ont passer , Karim enfin libre , il décide de venir demander ma main à ma famille malgré tout.

REFUS

Alors un beau jour je decide de partir avec lui sans l'accord de ma famille, je savais que je finirai par les retrouver un jour où l'autre et que cet homme était l'amour de ma vie.

Couper de tous avec Karim on vivait l'amour fou,il était toujours trop hnine avec moi,on sortait tranquillement les soirs , on fessait des petites balades, on dormait dans la même chambre mais chacun son lit croyait pas des choses hein.

Karim : wAllah tu sait pas comment j'aimerais que le temps s'arrête la
Moi : Moi aussi .. Karim ?
Karim : Oui Hartina ?
Moi : J'ai peur pour la suite
Karim : Tant qu'on est ensemble personne ne pourra nous séparer sauf Allah d'accord ?

Je commencer a verser quelque larmes,j'avais peur et si on nous retrouvait ? Et si ils n'acceptent toujours pas ?

Karim : Regarde moi Harti , que Allah pourra nous séparer , tant que j'suis avec toi je laisserais personne te faire du mal wAllah j'suis pas un pd moi

Il me prend dans ces bras et me fait un bisous sur le front.

[..]

Presque 1 semaine qu'on est la, j'imaginais pas l'état de ma famille,ni celles des filles, ils devaient être tellement inquiète,Karim décide d'aller acheter une puce pour que je puisse appeler au moins les filles.

Ah oui je vous ai pas dit,la dame chez qui on vivait était une ancienne collègue de travaille de Yasmina,elle était vers la 50 aine , elle vivait avec son mari , ils avaient 2 filles et 1 garçons ils étaient tous marié ils étaient d'origine portugais. C'était une petite maison mais très joliment décoré,confortable et chaleureux ils nous hébergeaient gentiment.

Alors que Krimo est aller chercher une puce,je me retrouve seule a la maison , les proprio étaient partie au spa mmdr eh oui ils prenez bien soin d'eux c'était un couple exemplaire pour moi ils avaient galère aussi car la famille de la dame ne voulait de son mari car il était pauvre,sans situation,rien alors ils sont venue s'installer en France et ont fais leurs vie. Donc je disais j'étais seule quand sa sonne a la porte

J'ouvre,et la je suis paralysé, mon frère était la, devant moi,regard noir,mâchoire et point serré , derrière lui un de mes cousin,je commencer a prier dans ma tête pour que cela soit un rêve,mais malheureusement c'était la pur réalité.

Mon réaction était de refermer direct la porte,mais mon frère bloque. Il commence a crier , il me pousse et ce met a chercher Karim , il crier et moi je pleurais , mon cousin me regardait  avec des yeux pleine de haine et du dégoût et sa me fessait encore plus pleurer.

Moi : Il.. il est pas la
Mon frère : IL EST OU CE FDP ?? HARTINA PARLE ! JE VAIS LE TUER ET TOI AUSSI SALE PUTE TU NOUS FAIT HONTE TU TE BARRE AVEC UN ARABE C'EST COMME ÇA QUE TA ETAIT ELEVER ? SALOPE

Il parlait pas en français hein mais je traduit direct il galère un peu avec le français.

Seul Dieu sait a quelle point j'étais mal,je priais pour mourir sur place que Dieu me pardonne j'avais envie de me tuer. Je priais pour pas que Karim rentre , mais au même moment il rentre comme la porte était ouvert il a du ce demander ce qui ce passer et pourquoi j'avais laisser la porte ouverte nous étions vers le salon ce qui fessait que Karim ne pouvais nous voir.

Karim : Hartina ? T ou ?
Moi : KARIMMMM PART RENTRE PAS PART STP KARIM PART

Mais comme monsieur est très têtue il est venue en courant, j'étais par terre , tenu par mon cousin pour m'empêcher d'aller vers Karim , quand mon frère le vit il lui sauta direct dessus,je me débattais pour les séparer ils étaient entrain de s'entre tuer. Je supplier mon cousin pour les séparer. Il finit par réagir , les deux étaient en sang,Karim avait l'arcade et la lèvre éclater, mon frère saigner du nez,il avait aussi la lèvre éclate bref ils étaient tous les deux moche a voir.

Mon frère à mon cousin : Prend la et sortez !
Moi : Noooon stp non me fait pas sa stp stp arrête,stp lâche moi ai pitié Dieu voit tout ai peur de Dieu arrête
Mon frère à Krimo : Que je te vois encore près de ma sœur je te tue

Je fessais que de crier le prénom de Karim , je le regardais et sa ce voyait dans ces yeux qu'il avait la haine, il a même laisser échapper quelque larmes pour vous dire a quel point ont était pas bien.

Mon cousin me fessait sortir et mon frère était derrière nous, je tourne ma tête vers Karim il commence a taper dans tous les murs de la maison,pauvres proprio ont avait tout saccagé. Ils m'embarquent telle une prisonnière et retour a la maison... Je fessais que de pleurer sur tous le trajet,quand je suis rentrer chez moi j'ai eu que des regards dégoûté alors je me suis enfermer dans ma chambre et j'ai pleurer encore et encore jusqu'à m'endormir.

[..]

1 mois plus tard,personne ne me calculer chez moi,j'étais en dépression,je mangeais plus,je dormais plus,je sortais plus,je restais h24 dans le noir enfermer dans ma chambre, et quand je décidé de faire une petite apparition je me fessais taper par mon frère ou mon père,j'avais le droit a des insultes très blessant de la part de ma mère. J'avais abandonner mes études,alors que je venais d'y accéder a cette université,je travaillais pas voilà a quoi ce résumaient mes journées.

Un jour j'avais entendu une conversation entre mon frère et ma sœur il lui a dit que c'est Yazid qui a balancer ou on était car mon frère le menacer.

2 mois sont passer et rien n'a changer pour moi,je me demandais comment était Karim,ou il était ? Ce qu'il fessait ? Avec qui il était,si je lui manquais ? Plein de questions comme ça.

Rien n'avais changer jusqu'au jour ou un homme vient demander ma main,j'avais compris que Karim je serais avec lui seulement dans mes rêves,et pour la 1er fois depuis notre rencontre j'ai décidé de l'abandonner, d'abandonner notre histoire, je finis par accepter mon destin,Dieu ne voulait pas nous unir et je n'pourrais aller contre sa volonté.
J'accepta la demande de ce garçon , car c'était un homme bien, on avait discuter quelque fois,on s'entendais bien et a vrai dire j'avais pas trop le choix quoi,soit j'acceptais et j'aurais pu trouver un peu de liberté,soit je refusais et je continuais a déprimer dans cette maison remplie de haine et du dégoût.

« Un jour peut-être ? » Où les histoires vivent. Découvrez maintenant