| CHAPITRE 28 🕔

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« Les aigles ne volent pas avec les pigeons . » 

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Selem Aleykoum

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Et c'est pendant que l'on me pousse difficilement vers une sorte de petit camion, que je jure de me venger.

[...]

Au bout d'un certain moment, la voiture s'arrête, et l'homme m'ordonne de sortir.

Je me demande il est quelle heure.

Je pose à peine le pied au sol, que la douleur à ma cuisse refait instantanément surface, et je ne peux me retenir de lâcher un cri de douleur.

L'homme - Qu'est ce qu'il y a ?

Moi - Rien rien, j'ai mal à la cuisse

L'homme - Laissez moi voir ça

Il s'approche de moi, et je me recule instinctivement.

J'ai peur.

Moi - Non c'est bon, ça va déjà mieux

L'homme - Allez laissez moi voir ça j'suis médecin

De toute façon, il ne pourra pas me faire pire.

Il s'approche de moi, et cette fois je ne bouge pas .

Je suis habillée comme une fille facile, j'ai tellement honte tu n'imagines même pas à quel point.

Il pose la main sur ma cuisse, et je ne peux me retenir de lâcher un petit bruit de douleur.

L'homme - Qu'est ce qu'il s'est passé ?

Moi - J'ai pris une balle dans la cuisse .

L'homme - Pardon ? Vous avez pris une balle ?

Je ne comprends pas son étonnement, il vient quand même de m'acheter, comme on aurait pu acheter un esclave avant.

Moi - Oui .

L'homme - Venez a l'intérieur, je vais vous donner des anti douleurs

Je le suis avec difficultés, et voilà qu'on entre dans cette grande bâtisse.

Il désactive le système de sécurité, puis il allume toutes les lumières.

L'homme - Vous n'avez pas mangé ?

Moi - Non

L'homme - Servez vous quelque chose dans le réfrigérateur, puis prenez ces médicaments, je serai à l'étage si besoin .

Puis il me laisse seule, et part vaquer à ses occupations.

J'étais étonnée par la manière dont il me traitait, alors que je ne le connais même pas.

On se Reverra [ 1 ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant