chapitre 5 - je vais le tuer !

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Le sadique me plaque contre le lit et m'observe de la tête aux pieds. Je me debat mais il a plus de force que moi.

Le demon : tu me saoule ! Arrête de bouger.
Il me fait peur. Il me fixe de ses yeux transpercents et sourit comme d'habitude.

Le demon : je me ferais pas avoir cette fois !

Il mattache les mains au lit et prend soin de mettre ses jambes entre les miennes pour éviter vous savez quoi...

Moi : lâche moi ! Arrête !je t'en supplie. Je t'ai rien fais et toi tu penses que je suis ton jouet et que tu peux en faire ce que tu veux ? Connard !

Demon : pourtant tu as apprécié quand je t'ai leché tout à l'heure non ?

Je me sens rougir et je ne parle plus. Pourtant ce n'est pas moi qui suis en tord !

Le demon : et n'oublie pas que tu m'as promis que tu ferais tout ce que je te dirais de faire.

Il commence à me lecher le cou malgré mes protestations. Que faire ? Nos parents reviennent dans une heure. Il aura largement le temps de faire ce qu'il veut de moi. Je frémis à cette pensée. Il paraît que les hommes aiment quand les filles gémissent. Et bien je ne lui donnerais pas ce plaisir !

Le demon : ça te plaît ? (Il rit encore)

Moi : je t'en supplie arrête ! Je n'en veux plus !

Le demon : tu es sûre ?

Il commenca a retirer mes collants (sans peine, je sais pas comment il a fait !). Je le regardais d'un air suppliant.

Le demon : putain ! Me regarde pas comme ça ! Tu m'excite encore plus.

Il se jeta sur moi de tout son poids et commenca a m'embrasser sauvagement. Je n'ouvrais pas la bouche mais il me boucha le nez et je fus obligée d'ouvrir pour avoir de l'air. Sa langue pénétra dans ma bouche et nos salives se mélangèrent. Ce baiser dura très longtemps.
Des larmes s'échappèrent de mes yeux même si je ne voulais pas qu'il les voient.

Le demon : tu pleures ? Ne me dis pas que c'était ton premier ?
Et il explosa de rire
Je te volerais toutes tes premières fois !
Il commenca a retirer mon soutien gorge et sourit. Il l'avait presque retirer qu'on entendit la porte s'ouvrir.
Mon père : le magasin était fermé !
Je me sentit tellement soulagée que je fondit en larmes. Il me détacha et grogna.

Lui : Ah putain ! J'aurai voulu continuer mais ce sera une prochaine fois. OK poupée ?

Je me jetai sur lui et commencai à lui mettre des coups de points, des baffes des coups de pieds. Je l'étranglai. Je pleurais, l'insultai et le griffai et le mis dehors.

Moi : je te déteste !!! Je veux plus jamais te voir !
Il m'attrapa les poignets et m'embrassa. Il était aussi ardent que le précédent. Même si je me debattais j'y prenais plaisir sans lui faire savoir. Jusqu'à ce que je laisse sortir un gémissement. Et merde !
Il sourit satisfait et s'en alla en disant :

T'es sûre que tu me déteste ?
Connard ! Je vais te tuer !!!

mon frère est un tyran !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant