Lettres...

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(Désolée pour le double update, j'avais oublié le titre XD)
Vous avez vu notre petit Mathieu ! Il a l'air plutôt (défoncé) fatigué ! Bon, j'espère qu'il reviendra en forme ! Ça serait cool qu'il poste le dernier slg le 11 mars, le jour de l'annif de l'émission, mais bon, il a surement pas encore commencé vu ce qu'il disait...
Bref, je vous laisse lire ^^

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Il s'approcha de la paillasse (table des salles de sciences si vous voyez pas) du prof. Elle était assez bien rangée, les fioles étaient côtes à côtes contre le mur. Il y en avait de plusieurs couleurs, il frôla du doigt les précieux récipients. Une fine couche de poussière resta collée sur sa peau. Il l'essuya sur un torchon qui traînait par là. Pas question de salir son costard !
Il y avait aussi plusieurs maquettes en bois, minutieusement assemblées. Et puis des tas et des tas de feuilles, couvertes de formules scientifiques et de mots plus ou moins lisibles.
Une pile d'enveloppes posée un peu plus loin sur la table attira sont attention. Il se saisit d'une lettre et la lut.

"Cher Professeur,
Le projet que vous nous avez présenté nous semble très intéressant, nous apprécierions que vous nous recontactiez dans les jours prochains pour définir la date de votre présence ici.
Bien à vous,
M.Dreus, et l'équipe du laboratoire de sciences modernes de Nantes."

"Rien d'intéressant par ici..." se dit le Patron. Il attrapa ensuite la lettre en dessous.
C'était une demi feuille A4 blanche avec quelques mots écrits dessus au stylo plume.

"On vous aura prévenu"

Le patron s'affola, c'était le même stylo que celui qui avait écrit le mot laissé sur la porte. Il attrapa la pile de lettres et les tria, il y en avait au moins une dizaine de la même écriture, des lettres fines et bien formées, légèrement rondes avec beaucoup de spirales. C'était surement une femme qui avait écrit. Toutes ces lettres étaient des menaces, elles menaçaient même le Prof de mort à certains moment. La condition pour que cela n'arrive pas ? Il devait laisser le Patron. Son amour avait été plus fort mais il allait le payer.
Le Patron laissa échapper un juron et remonta les escaliers en courant. Il entra sans frapper dans la chambre de Mathieu qui était en train de lire un hentaï sur son lit.

Patron: Mathieu, regarde ça !
Mathieu: Tu vois pas que je suis occupé ?
Patron: Ça concerne le prof sombre idiot.

Mathieu leva les yeux vers les lettres et les saisit. Il en lut quelques unes puis son regard devint grave. Il les rendit au Patron avant de s'assoir en tailleur sur le lit.

Mathieu: Restons calme et réfléchissons.
Patron: Si ce sont tes seuls conseils gamin, j'aurais largement pu me débrouiller seul.
Mathieu: Ne fait pas l'imbécile Martin Sommet.
Patron: Je t'ai déjà dis de ne pas m'appeler comme ça gamin, ne le refait jamais ou tu risque de le regretter. son regard était à glacer le sang
Patron: Je vais chercher de mon côté.

Le Patron sortit de la pièce, attrapa sa veste sur le porte-manteaux, puis sortit de l'appartement des Sommet en marmonnant.

Patron: Pourquoi il ne m'a rien dit ce con, j'aurais pu tout arranger.

Il ressortit le paquet de lettres de sa poche et une de celles-ci lui fit comprendre la raison du silence du Prof.

"Prof, si jamais tu parles de ces lettres à qui que se soit, et surtout au Patron, nous ferons en sorte de l'éliminer.
Avec tous nos sentiments respectueux."

La dernière phrase le fit bouillir de rage. Comment avaient-ils pu oser écrire cette phrase sarcastique ? Le Patron ne comprenait pas la volonté de cette, où ces personnes de nuire à leur couple. Il se dirigea vers un de ses bordels, au hasard, espérant trouver des informations auprès de ses informateurs.

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Bah, voilà écoutez, c'est tous ce que j'ai pu écrire pour le moment ^^'
La suite devrai normalement arriver d'ici une semaine :)
Si jamais des auteurs passent par ici, et cherchent une correctrice, je suis intéressée ! :3
Bref,
Tchop ! 🌱✌️😏

Rhubarbe !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant