chapitre11

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Je me redressais et serrait mon pagne autour de ma poitrine

-tu veux quelque chose tonton

-oui

-quoi donc?

-toi me sourriait il

Je faisait un rire gêné et serrait encore plus mon pagne.

Ais je bien entendu?

-ehh tonton tu fais quoi ici lui demandais je à nouveau, reprenant mon serieux

Je voulais être sur que j'avais mal entudu,"moi" impossible je suis sa nièce

-chuut toi aussi ta tantie va nous entendre

Je me rendais alors compte qu'il avait raison,je ne veux point qu'elle me trouve ici avec son mari

-justement sors pardon

-orh toi aussi...tu me plait faut pas faire comme si tu sais pas

-hum je te plait comment

Je n'aimais guère la tournure que prenais cette discussion mais aujourd'hui je mettrai les points sur "i" et les barres sur les "t"

-vraiment tu veux savoir? Avançait il souriant

-euh...ou...oui bafouillais je moi même incertaine de ma réponse

-dans ce cas ecarte tes jambes je vais te montrer à quel point tu me plait se collait il à moi,

lui et son ventre bedonnant, rompant par la suite les quelques centimètres qui nous séparait

Je lui faisait les gros yeux,étonné non seulement par ses dires mais aussi par la rapidité qu'il avait exercé à se coller à moi

Je le repoussait mais il me bloquait,me serrant de plus en plus à lui

Sa respiration haletante s'écrasait sur mon visage.Haletante,ça, elle était tellement que je pensais qu'il venait de courir un marathon

Là n'était pas le problème, c'était plutôt sa manière de me coller qui commencais à m'énerver

-laisse moi tchrr...eh tu as bu ou quoi ?grognais je

J'oubliais les bonnes manières, de toute façon il ne mérite pas que je le respecte

-ah non je suis bien dans mon état normal

-quitte là orh...tchrrr tu as oublié que tu étais mon oncle

Il me faisait un rire jaune,me reluquait en léchant ses babines d"une manière dégoûtante

-je n'étais pas ton oncle quand tu me chauffais n'est ce pas?

-je comprends pas

-les jours où tu te promenais en string et soutient tu te rappelles?, les jours où tu me donnais comme seul champ de vision tes fesses et aussi les jours où tu me faisait les yeux doux

Ahurie, j'étais complètement immobile tandis qu'il approchait ses lèvres des miennes

Je reprenais mes esprits et tournais la tête

-quoi?non je ne savais pas que tu étais là tonton j'te le jure

J'avais honte,oui honte qu'il pense pareil chose de moi

-on est que deux dans cette pièce... Alors cesse de me mentir se collait il encore plus à moi

Je lui faisait les gros yeux lorsque je ressentais son sexe se lever.Completement satisfait il élargissait son sourire

la villageoise [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant