N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez. _LaDZ213_
avant :
Baba : je vais te donner un coup de main tu vas voir mdrr
Yemma : aha Luca très drole, en plus devant tes enfants
Amir : moi jsuis d'accord avec baba les femmes à la cuisine
Yemma : beleh tous, les filles en cuisine ce soir Adrian et Maria viennent avec leur famille
Ness un cœur en détresse
PARTIE 19
Baba : pour une fois je suis d'accord avec votre mère mdrr
Hessoul après ça avec Mel on est parties en cuisine rejoindre la daronne. On était rentrées tard du centre commercial et les invités arrivaient pour 20h30 on avait plus beaucoup de temps et ma mère ça la faisait trop paniquer
Mel : et yemma déstresses c'est que tata et tonton, et puis eux sont pas comme les parents à baba
Yemma : Je sais mais ça m'angoisse toujours, j'ai toujours peur qu'ils me jugent
Mon père avait tout entendu
Baba : Shera (prénom de ma mère) viens hafek
Ils sont partis dans la chambre mais vu que les murs sont en gaufrettes et que c'est tout petit on à entendu le plus gros du discours
Baba : Shera arrête de continuer de croire des choses comme ça. Je me suis toujours battu pour toi et c'est pas maintenant que j'arrêterai
Yemma : Je sais mais c'est dur pour moi. Ils me regardent toujours avec mépris et maintenant que l'on vit plus près d'eux je ne veux pas qu'ils voient mes enfants avec mépris. Surtout Ness qui va devoir se taper Maïa toute la semaine.
Baba : Un seul acte de mépris et jles nique tous
Oui mon père est comme ça et parle réellement comme ça mdrr
Yemma : merci bébé
Baba : je t'aime
Yemma : je t'aime aussi
Alors la Mel et moi on s'est regardées et on a explosé de rire. A vrai dire ça faisait super bizarre d'entendre des mots doux entre ses parents mais j'étais heureuse et je me disais que je vivais dans une famille pleine d'amour mdrrr. Bien évidemment mes parents n'ont jamais su qu'on avait entendu mdrr
Yemma : alors les filles on a 1h alors on s'active
Mel et moi : ouee
On cuisinait toutes les trois. Ce genre de moment m'avaient beaucoup manqué. J'étais resté plus d'un mois à l'hôpital et la j'étais entrain de reprendre progressivement ma vie.
Après avoir fini de préparer le repas et d'avoir mis la table je suis allée me préparer. Je me rappelle de comment j'étais habillée. Je voulais à tout prix avoir une bonne image auprès de ma famille et surtout monter mon nouveau corps. J'avais un slim noir et un t-shirt rouge de chez zara qui faisait grave ressortir mon bronzage. J'avais pas trop tenté le moulant car je voulais d'abord tonifier toute cette peau distendue mais je pouvais pas faire de sport à cause de la cicatrice de la thyroïde.
Ca a sonné à la porte. Mes parents étaient allées en vitesse au magasin faire une course de dernière minute. Amir était sûrement dans le haul et Mel à la douche. J'ai eu un coup de stress en me disant que j'allais devoir accueillir ma famille seule mais bon j'avais pas le choix je pouvais pas les laisser dehors.
J'ai ouvert la porte et c'était une fille, mon âge je dirais petite cheveux noir ébène et tout bouclés avec beaucoup de charme.
Moi : Salem Aleykoum
X : Aleykoum Salam
Elle parlait pas elle avait l'air paniquée
Moi : Je crois que tu t'es trompée non ?
Et la son visage à changé d'un coup, elle a souri. Elle avait vraiment la tête et l'attitude typique de la meuf qui se prend pour je sais pas qui et qui se croît supérieure aux autres. Son sourire avait l'air vicieux.
X : Je suis bien chez les F*******
Moi : Oui
Je commençais réellement à la trouver louche cette meuf
X : tu vas me prendre pour une folle mais j'ai déjà croisé ton frère donc j'ai cru que vous étiez arabes après je lis ton nom sur la sonnette qui est français donc jte pense gawria et ensuite tu me salue en arabe jsuis perdue mdrrrrr
Elle était en plein fou rire alors que y'avait clairement rien de drôle. Ca commençait à m'énerver et en plus elle inspirait pas confiance du tout
Moi : hessoul ça me dit pourquoi t'a sonné ici
merci de voter et de me donner vos avis.
Bisouuus
_LaDZ213_
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Ness - Un cœur en détresse
General FictionHistoire vraie. Moi c'est Nessrine, 17 ans quand tout à commencé. On m'a dit que je le regretterais, que je m'en mordrais les doigts un jour. J'ai refusé d'y croire. J'étais obstinée, persuadée d'avoir raison et que lui avait tort. A trop jouer a...