DayOne

Chapitre 1

Le téléviseur s'allume, nous crions a travers la maison.

" Bienvenue pour les infos journalières. Cela fait cent quatre-vingts jour que le monde s'est déréglé."

"Déréglé tu parles" dit mon père.

Le présentateur continue de parler de choses plus ou moins intéressante mais habituelle.

Ensuite viens l'heure du repas, au menu pâtes au jambon, très basique ai-je trouvé.

Aucune discussion ne prends vie, mis a part les petites anecdotes habituelles que je peine a suivre.
Mon esprit est ailleurs, je songe à ce qui a changé dernièrement, le monde est bouleversé, je me réveille parfois , je regarde par la fenêtre et tantôt je vois le chaos tantôt le paradis a ma portée.

Je ne sais ce qui a pu se passer et même qui sait ?

Tout ce que je m'aperçoit c'est que les autorités a du mal a confronter ce phénomène, d'ailleurs je croit qu'il ne font rien ils disent juste contrôlent la situation mais nous ce que nous voulons c'est retrouvé notre vie antérieur.

Avant on disais que l'enfance c'était l'insouciance, moi ce que j'en dis maintenant c'est que c'est la terreur, personne n'ose le dire mais tout le monde la ressens, tout le temps, tout le monde a peur de minuit et du changement.

Je n'imagine pas ce qui se passerait si nos habitats bougeaient aussi avec l'environnement, elles seraient détruites pensai-je.

Soudain un monstre me réveille à ce que j'en crois a ce moment puisque c'est juste mon frère Karl qui me dit que je m'était endormie.

J'aide a débarrassé la table et je monde directement dans ma chambre, un lieu de réflexion et de rêve.

Je monte rapidement les escalier en colimaçon, puis après avoir dépassé le coin bibliothèque je tourne a droite dans le couloir et première à gauche.

Ma chambre est assez petite, il y a un lit bien sur, la peinture est bleu pale, ensuite il y a un bureau ou je me consacre a l'écriture une passion pour moi surtout en cette période, il y a une armoire pour mes habits et une autre pour diverse chose.

Mais moi je m'installe dans mon lit, j'ai envie d'aventure, j'ai envie de découvrir qui a fait ce que le monde est devenue aujourd'hui.

Il est huit heures et demie, a cette heure je serais en bas avec ma famille a regarder la télévision ou faire autre chose mais pas ce soir, ce soir je ne veux plus de cette vie d'adolescent.

Je décide de prendre mon téléphone et d'envoyer un message a mes amis, mes quatre amis depuis toujours. Je leur demande de venir dès que l'environnement du jour le permettra.

Il y a Joaquim, c'est un grand blond avec des yeux marron, il est beau gosse , il a un air un peu bagarreur mais il est sympas et fait de très bonne blagues.

Il y a Gaël mon meilleur ami, il a des cheveux brun et très long, ce qui lui fait un look un peu bizarre mais son caractère compensent largement, on se marre bien quand il est là. Je me rappelle une fois pour rigoler on lui avait fait des couettes avec ses cheveux "extrêmement long", on avait bien rigolé.

Ensuite il y a Alice, c'est une fille assez jolie avec des cheveux noir et cour, elle est "l'intello" de notre groupe d'après les camarades de notre ancienne classe puisque depuis que le monde a changé il n' y a plus de cours sinon elle est sympathique et cool.

Enfin il y a Lætitia, elle est belle, elle a des cheveux châtain, long et lisse. Je me rappelle d'un jour de rentrée lorsque certain garçon l'on vue, il ont tout de suite craquer, je parie qu'il lui ont demandé son numéro dans la seconde. Pour ma part je reste en dehors de tout ça, ma vie est bien comme elle est alors que demande le peuple. Lætitia est gentille et est joueuse.

Je me refais le fil de l'année passé depuis mon anniversaire en juillet, puis est venu ce jour où je me suis réveillé et découvrit stupéfait la savane a la place du parc qu'il y avait en face de chez moi avec le toboggan, toujours debout et les animaux sauvages a trente mètre de chez moi.

En fait maintenant je me rends compte que tout ce que l'homme a fait est préservé chaque nuit mais que tout ce qui est naturel se transforme ainsi que le climat, par exemple un jour il fait trente cinq degré, le lendemain il fait moins dix.

A pensé a tout ça je m'endors dans les profondeurs du sommeil, qui sait où je serai demain et qu'est ce que je découvrirai.