J'comprend pas [PNL]. [T1]

27.

27.

Médecin:Lorsque nous plaçons un patient dans le coma nous le branchons à plusieurs machines afin de pouvoir avoir des informations sur son état chaque heure.

Moi:Dîtes-moi directement ce qu'il se passe.

Médecin:Et bien pendant trente minutes notre électroencéphalogrammes est rester plat. Si dans les prochaines quatre heures le même phénomène se produit votre cousin sera mort cérébralement. Son cerveau ne marchera plus. Nous devrons prendre ensuite votre avis en compte avant de le débrancher.

Les larmes me montent au yeux mais j'essaye de les retenir.

Moi:Il n'y a pas d'autre solution ?

Médecin:Hélas non, nous ne sommes pas dans une situation où le don d'organe nous suffirais.

Moi:Euh je peut passer la nuit avec lui ?

Médecin:Écoutez étant donner que c'est un cas spécial je vous laisse mais seulement vous.

Moi:Pas de problème, vous pouvez me tenir au courant ?

Médecin:Oui.

Je me lève et lui sert la main avant de sortir.
J'appelle Tarik.

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Tarik:Ouais ?

Moi:Viens a l'hôpital Et ramène moi un survêtement avec toi.

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Il arrive une heure après.

Tarik:Y'a quoi ?

Je lui explique tout.

Moi:Dit leur que je reste au cas ou il se réveille. Je sais que c'est égoïste et hypocrite de ma part mais pour l'amour de Dieu ne préviens ni Aleyna, ni Isabella et encore moin Adriana. Elle pourrait faire une connerie. Je sais que tu devais enregistrer aujourd'hui, je suis désolée bébé.

Tarik:La famille avant tout, Aden c'est un frère même si on parle pas souvent ensemble.

Moi:Je t'aime Tarik.

Tarik:Moi aussi clocharde.

J'esquisse un sourire avant de l'embrasser.
Je rentre dans la chambre d'Aden tandis qu'il part. Je me pose à ses côtés et prend sa main.
J'commence à lui raconter pleins de petites anecdotes qui me décrochent un sourire nostalgique.

Moi:Sah j'aurais jamais imaginer que tout ça nous arriverais. Je voulais t'annoncer quelque
chose à ton retour. Je pense que je vais te le dire maintenant parce que j'aurais vraiment peur de ta réaction en réalité.

Je prend une grande inspiration puis commence.

Moi:Samir, ton ancien pote il est pas parti à cause de la mort de son père. Je sais que tu va m'en vouloir mais après ce qu'il a fait je te jure que tu l'aurais tuer de tes propres mains. À Monaco il était vraiment bizarre mais je t'ai fait confiance. Je me suis dit que si tu m'avais dit que c'était un bon gars ça le serait vraiment. Mais un soir je rentrais de match et il m'a demander de le rejoindre..parce qu'il avait une urgence. Et comme une conne j'ai cru ce qu'il m'a dit..

J'ôte ma main de la sienne.

Moi:Quand j'ai compris ce qu'il voulait j'ai appeler à l'aide et j'ai couru le plus vite jusqu'à un endroit où il y avait du monde. Il a voulu abusé de moi.. Je voulais pas le dire à tout le monde parce que c'était ton pote et il comptait tellement pour toi que tu aurais sûrement pris sa défense.

J'essuye mes larmes.

Moi:Depuis ce jour là je l'ai plus revu et quand il est revenu à la cité et que son père est mort il est parti disant qu'il ne pouvait plus vivre là-bas.