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PDV Julia
-Tu ne penses pas qu'il faudrait baptiser notre chez nous ? Demanda-t-il en me lançant un regard ténébreux.
À peine rentrés -à une heure tardive de la nuit-, Nicholas ne prit pas la peine d'allumer la lumière et me plaqua contre le mur. Son souffle chaud glissait sur mon cou et me parcourut de frissons. Cela faisait des semaines que je n'avais pas ressenti cette étincelle au fond de mon ventre, et le désir naissait comme une flamme brûlante. Je me laissai guider et Nicholas prit l'avantage. Il m'embrassa à plusieurs reprises tout en tenant mes hanches afin de me porter, j'enroulai mes jambes autour de lui et me laissai porter jusqu'au lit. -Je t'aime Julia... je t'aime tellement... me murmura-t-il entre deux baisers. Mon cœur explosa à l'intérieur de ma poitrine, j'avais attendu ce moment tellement longtemps. -Tu m'as tellement manqué mon amour... lui répondis-je Il me déshabilla délicatement, je me retrouvai nue devant un homme bien impatient... nu au dessus de moi, il s'empara a nouveau de mes lèvres. Il m'embrassa le cou, la poitrine, le ventre, ce qui me fit gémir. Puis il revint à la hauteur de mon visage, et resta quelques secondes à planter son regard dans le mien avant de me pénétrer doucement. Ses vas et viens profonds étaient compléments déroutants, il était doux et entreprenant à la fois. Nous firent l'amour jusqu'au petit matin afin de nous retrouver entièrement. Nous étions abandonnés l'un à l'autre, indéniablement amoureux. C'était l'homme parfait, l'homme avec qui je voulais faire ma vie, c'était Nicholas.
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PDV Joe - Lendemain matin
Je me réveillai seul en ce 25 décembre : Sophie, ma nouvelle petite amie avait mal apprécié la tension entre Demi et moi la veille, et avait décidé de rentrer chez elle hier, ce qui m'avait un peu refroidit. Mais au fond, je m'en fichais, je n'étais même pas sûr de mes sentiments pour elle... il était déjà 10h du matin lorsque la sonnette de mon appartement retentit à plusieurs reprises.
-Ça va, j'arrive... grognai-je en sortant du lit
Je me hâtai jusqu'à la porte d'entrée et ne prit pas la peine de regarder à travers l'oeillet, j'ouvris la porte rapidement, et je trouvais la dernière personne à laquelle j'aurai pensé avoir en face de moi :
