Thomas n'est pas un garçon comme les autres. il est ce qu'on appelle... un auteur.... quelqu'un dotés d'un don extraordinaire . La créativité. Lors de "L'EDUCATION", Touts les hommes ont perdus ce don de créer. Ce don s'est matérialisés. Ils vivent...
Thomas savait que ce qui arrivait était la tempête. Et pas une tempête comme d'habitude... Une Tempête qui changerait sa vie. Il ne le savait pas comment mais il avait l'impression qu'il vivrait un cauchemar ou un rêve bientôt. Avec ses amis, il reprit le bus. Ils sortirent tous au même arrêt. Il y avait toujours cette minorités de gens qui était la à les regarder en disant des incantations bizarre. Les trois amis se séparèrent et partirent chez eux. Thomas prit la route principal et observa les voitures. il ne voulait pas rentrer tout de suite... Sur sa petite ile, Thomas ne s'imaginais pas connus. Il pensait juste être un pion dans un jeu d'échecs. Un point noir sur plein de points blanc. Mais il savait qu'il était capable de devenir le roi ou de rendre les autres points noirs. Il lui manquait juste le déclic. L'énergie qui déclencherais tout. Mais penser tout perdre ne faisait que le rendre triste et anxieux. Thomas n'était pas quelqu'un de très agités. Il était du genre a éviter les problèmes mais a les pousser lorsqu'ils étaient en travers de son chemin. Il admirait beaucoup des amis car ceux ci étaient vraiment des modèles pour lui. Ils étaient comme sa famille. Il y avait une phrases de chanteur qui l'avait touchés :
"Il y a la famille par défaut, et il y a celle que tu choisis"
Il commençait a pleuvoir. Il commença par sentir quelques gouttes puis plusieurs d'un coup. De plus en plus, jusqu'à qu'il ne pus plus voir a deux mètres devant lui. Puis il entendit l'orage. Puis, les klaxons de voiture. Tout ce vacarme faisait une mélodie qui apaisait Thomas. Il arriva devant sa maison. Regarda la rue, le ciel, resta la encore une minute pour entendre cette mélodie qui lui faisait oublier. lui faisait oublier a quel point la sociétés est immense. a quel point l'homme était partout. Lui faisait oublier ce cyclone qui arrive. Puis, Il rentra chez lui. Ses parents, furieux, lui crièrent dessus mais cela n'atteignait pas Thomas. Il était autre part. Dans ses pensées. Dans son monde.
Thomas partait se coucher. La tempête faisait ravage dehors. Mais cela lui était égal. il n'entendais plus rien. c'était flou. comme si il était en pleine discute avec son subconscient et que son corps faisait la routine. Il s'allongeas sur son lit et contempla dehors. Les gouttes qui perlaient sur la fenêtre, la pluie abondante qui tombait dehors. Les nombreux flash qui apparaissaient et disparaissaient en moins d'une seconde. Puis, il ferma les yeux et se laissa porter par la douce mélodie que faisait la pluie sur le toit des maisons.
Thomas fut réveillés par un bruit d'explosion. un énorme bruit qui semblait venir de partout a la fois. Celui ci sauta de son lit et alla voir a la fenêtre. Personne... Il n'y avais aucune lumière, aucun son. La tempête s'était calmée. Il appela :
-"Maman !!! Papa !!! Sa va ?!"
-"oui Thomas, sa a du être un coup d'orage, va te rendormir." répondirent ses parents ensemble.
Thomas ne put fermer l'œil de la nuit. La tempête n'avais pas repris et la pluie ne tombait qu'en fine gouttelettes. Cela lui paraissait louche. Il s'imaginas beaucoup d'histoires sur la provenance de ce bruit : météores, invasion extra-terrestre, terroriste ou encore des failles entre le vivant et les morts, un monstre géant sortit de nul part... Il s'imaginait pleins de terrifiantes histoires lorsque son réveille sonna.Il sursauta, l'éteignit, mis un mot pour ses parents disant qu'il filait chez ses amis et couru dehors. Il descendit la rue principale et arriva à l'arrêt de bus. Il ne pleuvait presque plus. Arrivés en bas, Thomas repris son souffle. Il s'apprêtait a repartir quand un main vint se poser sur son épaule. Il fit un bon en arrière et se retourna. C'était Maël.
-"Du calme mec... je viens d'arriver... T'a entendu l'explosion hier soir ?" lança-t-il
-"oue... c'est flippant ! j'ai pas réussi a dormir à cause de sa !" répondit Thomas
-"Tu crois que c'est quoi ?"
-"je ne sais pas... c'est bizarre quand même... autant que les gens qui nous regardaient hier..."
-"Moi, chui sur, c'est une attaque terroriste... En ce moment c'est assez fréquents ! et la pluie, c'est bizarre par contre... on doit être dans une faille..."dit-il avec un regard qui trahissait sa confiance.
Margaux arriva. Elle était trempés de la tête au pieds. Maël, qui avait une veste, la passa a Margaux qui l'accepta de bon cœur. Les trois amis repartirent en direction de chez Thomas. Ils remontèrent la rue et prirent un raccourci. Arrivés devant chez lui, ils s'arrêtèrent. Ils ne voulaient pas que les parent de Thomas l'engueulent encore pour des histoires qu'ils se sont inventés... C'est alors qu'ils eurent une idée : Ecrire une histoire. Au début, ils ne savaient pas quoi faire. Margaux encore moins... elle n'a jamais été douée pour écrire des histoires. Mais la, elle avait vraiment du mal. Même a les lire. Elle oubliais le fil déclencheur de l'histoire, les héros, elle ne savais jamais vraiment c'était lequel. Elle était vraiment larguée. Alors que Maël et Thomas n'avaient aucun mal a l'écrire, a l'inventer. Ils débordaient d'imagination. C'était presque naturel pour eux. comme si ils l'avaient toujours fait. Et en voyant cela, Margaux fut prise d'une jalousie envers ces... "écrivains". Maël était surtout doués pour trouver une histoire et pour l'écrire. Thomas, lui, il était doués pour les détails de l'histoire et ses dessins. Pour la manière dont elle peut être guidée. Margaux était jaloux d'eux, mais, elle les aimais quand même. Elle s'en est voulus de les avoirs enviés.
Une fois la trame et les croquis terminée. Les deux garçons demandèrent a Margaux d'essayer de jouer un de ces personnages. Elle joua le plus dur, une fille au caractère dur et au cœur très doux. Elle réussi a le faire et, avec émerveillement, les garçons applaudirent. On aurait pus croire qu'elle s'était transformé en ce personnage qu'elle joua a merveille. Mais, un bruit de tonnerre puissant vint casser ce moment de joie qu'ils avaient partagés.
La tempête revenais.
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