Chapitre 5 : perte de contrôl

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Thomas était derrière le canapé. Il attendait un signe, quelque chose qui lui indiquerait que le monstre était partis. Jolan avais été attrapés. Le cauchemar l'avais emportés. Il avait entendus ses os craquer sous les dents du minotaure. Il avais pleuré. Il ne tenait plus. Et en plus, d'après l'histoire de Jolan, le truc c'est écoulés il y a environ un an... Ou est ce qu'il était pendant ce temps ? Et les trois groupes ? Jolan était surement un Sorcier mais lui et ses amis ? Des chasseurs ? Des sorciers ?

Thomas se leva d'un coup, sans prévenir et commença à courir en direction de la maison de Maël. Il courut 10 minutes, puis 20, puis 30. Le temps n'avait plus d'importance. Sa fatigue non plus. Il n'imaginais même pas ce qui se passerait si ses amis avaient disparus. Sur le chemin, Il croisa un groupe d'adultes. Ceux-ci le regardèrent d'un oeil mauvais. Les chasseurs. Il continua sa course et arriva chez son ami. Il constata que les maisons à cotés étaient toutes effondrés. Sauf celle de Maël. Il toqua à la porte. Celle-ci s'ouvrit avant qu'il n'ai pus taper le troisième coups et il fut entraînés à l'intérieur par quelqu'un. Il tomba par terre et regarda la personne qui l'avait propulsés dedans. C'était Margaux. Maël était au fond de la pièce et épiais les alentours de la maison.

-"T'es au courant pour ce qu'il s'est passés ?" lança-t-il.

-"de quoi ? Que le monde a été complètement défoncés et que on est arrivés cinq mois après une catastrophe et que il y a un *** de monstre qui à tué un enfant devant chez moi... Oui merci !" cria Thomas

Maël hésita. 

-"sa va ? t'a pas l'air bien"

-"bah vous avez l'air de pas réagir ! sérieux ! les gars, on reverra peut être jamais nos parents. Nos frères, Nos amis... même les profs me manqueront..."

-"bah... c'est pas ce que tu voulait à la base ?" dit Margaux 

Thomas ne répondit pas. Il s'écoula plusieurs minutes où les amis restèrent là. Sans parler. Sans se regarder. Au bout de plusieurs minutes. Thomas lança :

-" Qu'es que vous vouliez me dire ?"

-" non c'est bon... laisse" répondit Maël froidement

-"On à entendu comme un énorme hurlement et on à vu des adultes courir. On à essayés de les suivre et quand on est arrivés à eux, ils ont essayés de nous capturer. Ils m'avaient mis dans un gros sac noir et Maël les à bousculés. Il est tombés et un gars l'a attrapés. Par je ne sais quelle magie, un énorme nuage de cendre s'est abattus sur toutes les maisons. Sauf la sienne... Les Adultes étaient impressionnés et sa nous à laissés le temps de fuir. On comptais se rendre chez toi mais on à entendus un groupe d'adulte parler d'un enfant qui était poursuivis par un cauchemar. On est vite rentrés ce cacher et on à attendus qu'ils s'en ailles. Ensuite tu es arrivés."

Personne ne répondit. Il y avais une tension qui flottait dans le salon. Au bout d'un moment Maël se leva et alla devant Margaux. A ce moment même, la tension redescendit. Il s'approchas de Margaux. Leurs visages étaient à a peine un centimètre. Puis Margaux prit les lèvres de Maël entre les siennes. Ils étaient en train de s'embrasser pour la première fois. Thomas se leva et sortis de la pièce. Il alla dans la cuisine et regarda par la fenêtre. C'est alors qu'il vit un masque argentés aux yeux intensément mauve le regarder. Il cru entendre que le personnage disait "nogitsune". Thomas sentit la chose fouiller son esprit et, lorsqu'il sentit que le froid commençais à pénétrer son corps et une chaleur se former sur son coup. Il attrapa la main du monstre et... comme un... reflex, lui attrapa le masque et l'explosa dans sa main. Lorsqu'il la rouvrit, il y avais une petite luciole morte dans sa main. Il la mis par terre, l'écrasa et, sans prévenir ses amis, sortis de la maison. 

Ceux-ci le regardèrent avec angoisse. Ils avaient tout vus. Leur meilleur amis n'était pas lui même. Ils se retourna et leur souris. Ce sourire était cynique. Ils regardèrent leur amis partir et s'empressèrent de le suivre. Ils déambulèrent dans les rues de leur ville. Thomas disparaissait souvent de leur vue mais ils le retrouvait toujours à deux ou trois rues. Mais, au centre ville, Thomas disparut. Les deux amis ne le voyèrent plus. Ils le cherchèrent et allais arriver sur la rue de paris lorsqu'une main les attrapas et les tiras sur le cotés. C'était Thomas qui l'es avait tirés. Là, il les as empêchés d'emmètre le moindre son en appuyant sur leurs cordes vocales. Qu'es qu'il lui prenait ? C'est alors qu'une grosse forme noir passa à coté. C'était comme un gros fantôme noir ou une cape. En tout cas, la créature ne faisait pas un bruit et était conséquente. Ils attendirent comme sa pendant cinq bonne minutes avant d'entendre comme du vent qui se refermais sur lui même. C'est alors que Thomas jeta ses deux "amis" sur la route. Il avait un regard mauvais et dans ses yeux, brillait une lueur noire. Il n'était pas lui même. Sa, Maël en était sur. 

-"Qu'es que vous faites ? pourquoi vous me suiviez" ? lança Thomas d'un ton rageur

-"Toi qu'es que tu fais ? Comment sa se fait que tu soit partis comme sa ? Pourquoi tu n'es pas toi même !?"

-"Sa ne vous regarde pas !"

-"Eh ben alors sa ne te regarde pas non plus ce qu'on faisait en te suivant !"

Maël regardais ce duel entre ses amis. Il était énervés contre Thomas mais savais que ce n'était pas lui. 

-"Qui es tu ?" dis Maël très calmement.

-" Surement votre pire cauchemar." Répondit Thomas d'un ton sec

Maël hésita

-"Qui es tu ?"

-"je te l'ai déjà dis, je peut être un cauchemar pour vous ! je peut être votre assassin ou encore votre traître !" 

-"Qui es tu ?"

Thomas eu l'air d'hésiter. Il les regardas, commença à pleurer.

-"Je suis Thomas..." dit-il en titubant

Maël et Margaux sourirent. Ils avaient réussis à faire revenir leur amis. Lorsqu'ils se relevèrent, Thomas se prit la tête et commença à crier :

-"NON ! Nous sommes toi ! Arrête, Pourquoi ! NON LAISSE MOI FAIRE !"

-"Thomas, sa va ?" dis Maël

-"Non !" lâcha-t-il en pleurant "OUI ! Ferme là ! NON, LAISSE MOI ENTRER !"

-"Thomas !" Cria Margaux

Il eu l'air d'entendre. Il la regarda d'un air interrogatif. Puis il se remis à délirer :

-"LAISSE MOI SORTIR ! LAISSE NOUS ENTRER ! NON, JAMAIS !"

Les deux amis étaient en panique. Maël ne sut ni comment, ni pourquoi mais il prit de l'eau qu'il avait dans son sac et en jeta sur son amis. Celui-ci le regarda. Puis s'effondra.


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