Chapitre 3 : Hallucinations ?

7 0 0
                                    

Thomas et ses amis rentrèrent chez eux. Thomas les accompagnas et, finalement, finis par faire la même chose que la veille. Perdu dans ses pensées, il s'imaginais un monde. C'est alors que lui vint l'idée d'un dessin avec une citation. C'était un autoportrait de lui mais avec, en noir et blanc, par dessus sa tête, des dessins qui lui passait par la tête. Il commença son dessin. Il fit d'abord les croquis de son visage en se regardant dans un miroir, puis, sur une autre feuille, un œil bleu, un crane avec une lumière multicolore dedans... 

Il avait terminés tout les croquis. Il les faisait mieux que d'habitude. Là, le dessin était vraiment réaliste et beau. Il allait commencer a encrer lorsque ses parents l'appelèrent pour aller manger. Il y alla et lorsqu'il arriva devant ses parents... il n'étaient plus les même. Ils étaient comme il les voyait dans son imagination. Une sorcière et un démon. Il les voyais toujours comme dans la réalité. Mais, par dessus, il y avait cette vision. Il prit peur, mais quelques secondes plus tard, il se reprit. il rouvrit les yeux et... plus rien. Il n'y avais que ses parents. Thomas se demanda ce qu'il s'était passés. Si il avait halluciné ? Si c'était son imagination ou la pluie qui lui faisait sa ? Il n'avais pas mangés de tout le repas. Cette vision lui avait coupés l'appétit. Il retourna dans sa chambre et passa devant le miroir et, pendant deux secondes, il cru se voir comme dans le dessin. Il se dit que c'était le sommeil qui lui manquait. Il termina l'encrage et s'affala sur son lit. A peine avait il fermé les yeux qu'il était dans les bras de Morphée alors que la tempête faisait rage dans le ciel.

Le lendemain, Thomas se réveilla en sursaut. La tempête s'était de nouveau arrêté. Il avait fait un rêve horrible. C'était de ne plus avoir d'inspiration pour dessiner, pour inventer d'histoire. De rentrer dans le moule de la société. Il en avait peur. Il pensait perdre ses amis. Et ne devenir qu'un robot. Qui fait ce qu'on lui dis de faire. Et pour contrer ce rêve. Il voulait finir son dessin. Il avais trouver la citation

"Réfléchir, c'est commencer à désobéir."

Il finit son dessin en le faisant encore mieux que la veille, il était temps d'écrire la citation. Il était un peu anxieux car il n'écrivais pas comme sa sur d'aussi beau dessins. Ses parents n'étaient pas la. Ils étaient partis a un congrès pour savoir si ils tenaient les écoles ouvertes. Thomas ne s'intéressait pas beaucoup a eux. Surtout qu'ils n'avaient pas eu de super moments ces derniers temps. Il écris le proverbe en lettres calligraphiques. Et rangea le dessin dans son tiroir. Il sortit et partis voir Maël et Margaux. La tempête n'avait toujours pas repris mais, pour ne plus rentrer mouillé et halluciner, il pris un parapluie. Il courus dans l'allée. Il descendis par la rue principal. Aucun bruit. Aucune voiture. Aucun oiseau. Thomas se crut dans un rêve ou un cauchemar et se mis a compter ses doigts. C'était une technique qu'il avait appris lors de son stage dans un hôpital. Plusieurs patients faisaient des "terreurs nocturnes". Une sorte de rêve dans la réalité. Il s'arrêta quelques secondes car, il avait bien dix doigts. Il essaya de trouver des détails improbables sauf le fait qu'il n'y ai personne. Aucune voiture, Aucun oiseau. Il eu juste le temps de regarder le ciel lorsqu'une forme noire s'abattit sur lui. Il s'évanouis.

Thomas se réveilla à l'hôpital. Il ne se souvenait pas de grand chose mais, il se souvenais de l'énorme masse noir. Qu'es que cela pouvait être ? Un monstre ? Une voiture ? Un draps ? Thomas doutait, et pourquoi n'y avait il personne ? Pourquoi s'était il retrouvés à l'hôpital ? Thomas appela a l'aide... aucune réponse. Il se leva et partis en direction de la porte quand il entendit un énorme cri... Margaux ! Thomas courus en direction du bruit. Lorsqu'il arriva, Maël était là. Il venait d'arriver lui aussi. Apparemment, sa ne lui était pas arrivés qu'a lui. Les trois amis se réconfortèrent tout en craignant qu'il leurs arrive autre chose. C'est alors que Maël vis une feuille dans la poche de Thomas. Celui-ci le retira et sa lui ramena beaucoup de souvenirs. C'était son tout premier dessin. Celui qu'il avait fait avec Maël. Il représentait un oiseau de feu volant au dessus d'une mer d'un bleu vif. Il y avait la aussi une citation : 

"deux différents éléments, deux choses vitales"

et ce dessin fit un déclic. Il chuchota la citation. ferma les yeux. et lorsqu'il les rouvris, il était dans sa rue. La ou il avait écrit la citation. Alors, il vit Maël accompagnés de Margaux se matérialiser à coté de lui. Comment avait-il fait sa ? Il regarda le dessin a nouveau, relit la citation et lorsqu'il rouvris les yeux, Il était devant lui. C'était lui, mais plus jeune. C'était lui lorsqu'il avait écris cette phrase. Il y avais Maël. Ils devaient avoir 9 ans... Thomas eu envie de pleurer. Le fait de voir la ou tout a commencer... Puis, sous le doute, il demanda a Maël si il avait vu sa. Maël répondit que non et Thomas tomba dans un fort moment de tristesse. Autant que lorsqu'il s'était engueulé avec ses amis. Cela avait duré un an. Thomas était triste car il se voyait devenir fou. Il voyais des choses qui n'était pas la. Sa se trouve, lorsque cette forme noir était arrivés sur lui, ce n'était qu'un vélo qui le renversait, la réalités qui reprenait le dessus sur son monde. Thomas en avait peur et était triste. Si tout le monde qu'il s'était forgés dans son esprit tombais, il tomberais aussi avec lui. et serais peut être encore plus loin. Mais les interpellations de Maël le retint de ses pensées. 

-"Mec... comment on a fait pour se téléporter ici ? moi perso, c'est quand j'ai vus ton dessin. Margaux me tenait la main donc sa a peut être marchés comme sa... Mais toi, comment tu as fait et pourquoi on a réussi a faire sa et pourquoi on était dans un hôpital ?" il repris son souffle "je deviens fou c'est sa ? enfaîte on a jamais bougés d'ici..."

-"non... soit on a tous des hallucinations, soit on a vraiment réussi a se téléporter." dirent Thomas et Margaux en même temps.

c'est alors que quelques gouttelettes d'eau retombèrent. Elles détendirent l'atmosphère. Jusque a ce que le groupe se rende compte que la population avait disparus.

Les trois amis, enquêtèrent pendant quelques temps. En début de soirée, Thomas rentra chez lui, fatigué et espérant que ses parents seraient la. C'était bien la première fois qu'il pensa une chose pareille.


The last authorsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant