7 novembre. Fin d'après-midi.

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Depuis les coups de feu aucun sons plus où moins inquiétant ne s'étaient fait entendre dans la forêt, ne serais-ce que le bruit de nos chaussures raclant le sol où nos respiration qui s'épuiser. Aden n'avais pas reparler et j'osais pas  poser de questions de peur de paraître trop curieuse. Mais je lui demanda tout de même l'histoire de son petit frère Nelson.

«Explique moi l'histoire de ton petit frère, s'il te plaît. »

Aden resta silencieux de longues minutes avant de m'expliquer que c'était due à sa leucémie. Nelson était malade, atteint d'une leucémie il résidait à l'hôpital durant de longs mois, puis le virus est apparu mais ne l'a pas emportée. Aden pense que c'est par rapport aux médicaments qui circule encore dans ses veines.

Je resta bouche-bée devant son histoire, j'avais du mal à y croire, mais pourquoi m'aurait t-il mentit ? Et puis moi je lui ai donné ma confiance trop rapidement, qui me dit que c'est pas un gros psychopathe qui s'est échappé de prison ? J'élimina ses pensées meurtries de mon cerveau et me concentra sur mon objectif actuel.

«Tu à vue le message de Khronos ?» Me demanda t-il.

«Ouais.

T'y crois ?

Non.

Pourquoi ! »S'écria t-il tout d'un coup me faisant une nouvelle fois sursauter.

Quesque je devais lui dire ? La vérité qu'il est bien trop naïf si il y croit ? Où bien je lui affirme que c'est une blague et que bien sûr que j'y crois plus fort que tout ?

«Je...Je n'y crois pas c'est tout.

On devrait se dépêcher la nuit va bientôt tomber, et puis ils vont commencer le repas sans nous» Répondit Aden.

Effectivement le ciel c'était déjà assombrit, le soleil s'était couché reflétant une couleur orangé avec des nuance de gris. Je m'inquietais un peu à l'idée de qui les «ils» pouvait s'agir. Je me triturer les doigts de façon nerveuse tel une enfant.

On avait à présent quitter la forêt et étions sur un petit chemin goudronné. Une odeur affreuse se fessait ressentir, je porta ma main à ma bouche et une soudaine nausée me pris et m'empêcha d'avancer ne serais-ce que d'un pas.

«Va falloir t'y habituer mademoiselle habitué au luxe» Ricana t-il.

«J'y suis pas habituer c'est tout.» Me vexais-je.

Il me donna un point dans l'épaule qui me fit basculer, Aden s'excusa légèrement en prétendant ne plus être habituer aux filles, tout en afficha un sourire narquois sur le visage. La ville n'était plus très loin, à peu près à une dizaine de minutes maintenant.

«T'a pas un élastique s'il te plaît ?» Me demanda t'il.

Je ne pu m'empêcher de rigoler aux éclats durant une trentaine de secondes, Aden lui me regarder avec incompréhension.

«Pourquoi tu rigole ?

Un élastique ! Non mais attend !» Riais-je encore.

Finalement après cinq minutes je réussis tant bien que mal à calmer mon rire nerveux et lui donna un élastique qui trainer au fond de mon sac. Il s'attacha les cheveux en queu de cheval ce qui faillit me refaire rire mais je m'en empêcha tout en me  pinçant les lèvres. Les dix minutes qui nous séparaient a la ville passèrent silencieusement et nous arrivâmes dans une ruelle qui semblait à première vue déserte.

Aden s'arrêta devant une maison de centre ville et siffla. Un jeune rouquin ouvra la porte tout en me regardant étrangement. Aden me proposa de rentrée et de m'installer sur un fauteuil dans le salon le temps qu'il revienne. Il était partit un peu plus loin de la pièce avec le rouquin et afficha une mine grave à plusieurs reprises.

Le fauteuil était assez confortable, plus confortable que celui de la maison de campagne où je dormais. La pièce contenait de larges murs blanc et la hauteur sous plafond agrandissait la pièce, une lumière tamisée régner dans le salon d'une manière accueillante mais était tout de même restreinte.

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 26, 2017 ⏰

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