La lettre

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Le lendemain matin, je vais chercher le courrier dans la cour. Je regarde vaguement les lettres : des factures et des pubs absurdes. Soudain au derrière du paquet il y a une lettre dans une enveloppe kraft. Mon coeur s'arrête et je me fige littéralement sur place. Mon nom et l'adresse de ma tante est écrite à l'encre bleue d'une magnifique écriture penchée : celle de ma mère. J'ai envie de pleurée ou de m'enfuir, de crier... je ne sais plus, tout mes sentiments explosent à l'intérieur de mon coeur. Je passe la porte et pose sur la table le courrier. Sans oublier de récupéré la lettre qui m'est adressé je sors en courant. Des larmes coulent sur mes joues. Je cours je cours sans m'arrêter, mes cheveux virevoltent autour de moi. Mes jambes me portent je ne peux plus m'arrêter. Quand soudain je heurt de plein fouet une silhouette frêle et je m'étale par terre. James me regarde et je cri avec des larmes pleins les yeux. JAMES !!
- je ne m'appelle pas James.
-Arrête de te foutre de moi tu ne Vois pas que j'ai reçu une lettre de ma mère. Et je re pleure de plus belle.
- je m'appelle Elio dit t'il tout doucement. Il me relève tout en douceur.
-James ce n'est pas le moment je t'en prie gémis je. Il faut que j'ouvre ce courrier.
-je t'expliquerai plus tard. Il me prit la main et nous allons nous assoir sur un banc au milieu d'un parc.
Je déchire doucement l'enveloppe. Je tremble de tout mes membres. Je sors une feuille blanche recto verso. Écrite très proprement de la même écriture penchée que sur l'enveloppe. Je commence à lire dans ma tête les mots de ma mère : "Ma chère fille, je ne t'ai pas assez connu vois tu. Je vais bientôt mourir je le sais. Je voudrais te dire ceci : retiens bien ça Alice c'est extrêmement important. Va voir cette femme et dis lui que je suis ta mère elle saura quoi te dire. Lisa Cainrh : 2 rue de la marquise Dublin : Ireland." Je ne connaît pas de Lisa Cairnh et encore moins en Irlande, de plus ma mère ne m'avais jamais parler de cette femme. Les derniers mots de la lettre dit : " j'espère que tu vivras plus heureuse que moi. Tu es une jeune fille extraordinaire je t'aime ma chérie. Tu n'étais pas prévu et pourtant tu es la plus belle choses qui me sois jamais arrivée. Tu as les mêmes yeux que ton père. Je t'aime
Marianne Dauclaire. Je regarde en direction de James ou de Elio je ne sais pas du coup.
-Alors comment t'appelles tu enfin de conte ?
-Elio mais mon nom écossais c'est James.
-Quoi mais tu es né Glasgow non ?
-Non pas du tout je suis né à New York. Ma mère et mon père était des grands scientifique mais il sont morts quand j'étais tout petit.
-Mais pourquoi tu n'as pas garde ton vrai prénom ? Tu n'aimes pas Elio ? moi je trouve ça plutôt mignon. Dis je
-En fet je me suis dis qu'en prenant un prénom anglo-saxon je serais mieux intégré
j'étais perturbé par toute les nouvelles qui venais de me tomber sur le coin de ma figure.
-Bon alors tu vas aller la voir ta Lisa Cairnh ?
-Oui mais je sais pas comment, ma tante ne me laissera jamais partir c'est sur.
-Tu n'es peut être pas obligé de lui dire. J'aperçu un petit sourire au coin de sa bouche.
-Ca va pas ? Je peux pas partir comme ça il vont appelé les flics devine.
-Laisse moi faire.

Partir sans retourWhere stories live. Discover now