Une silhouette...

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Jour 4.

Je ne comprend pas.

Ou du moins je ne comprend plus.

Aucun rapport avec le fait que je me demande ou je suis et pourquoi, non non, rien à voir...

Le jeune homme est revenue, cette fois habiller d'un simple jean et un t-shirt noir, laissant facilement apparaître les muscles apparent de ses bras.

Il a remarquer le fait que j'ai un minimum manger, avant de simplement sourire d'un air amical, allez savoir pourquoi, m'a remercier et a arracher une page du cahier, blanche, où je n'avais pas encore écris quoi que ce soit.

Cet homme est insupportable. On arrive à rien cerner de lui, même pas un sentiment, une humeur, rien.

Même en le regardant un moment, ça ne viens pas. 

J'ai bien évidemment essayée d'entamer la discutions, de façon à ce qu'il me réponde, mais toujours la même chose. Pas un seul mot, à part ce fameux "merci", dont je ne comprend sûrement pas la signification...

Il a ensuite, encore une fois, débarrassé tout ce qui est en trop sur la table, avant de me tourner le dos, me laissant simplement le regarder, toujours avec autant de questionnement.

Je suis maintenant comme avant, comme les trois jours précédents, à attendre que les secondes, les minutes ou même les heures passent, regardant cette montre qu'il a déposé là, je ne saurais même quel jour il l'a mise ici...

~

C'est à présent un milieu d'après-midi qui commence. Je n'avais pas besoin de marquer tout ce qu'il s'est passer avant, vu qu'absolument rien n'a étais important au point d'en écrire, ou simplement la routine.

En revanche, il y a quelques minutes, j'ai vraiment crue que j'allais y passer.

Un homme, ou une femme, à vrai dire je n'en sais rien, est entrée dans la pièce. La personne était recouverte d'un long manteau noir, ne laissant apparaître aucune trace des courbes de son corps.

Je l'a regardée, apeurée.

Elle avait une capuche noire, et un masque, je pouvais juste apercevoir ses yeux, mais elle était trop loin dans la pièce, je n'avais pas les moyens d'en percevoir une quelconque couleur.

Elle ne laisser apparaître aucune mèches de ses cheveux capable de se déposer sur son visage.

Cette personne a fais le tour de la pièce, sans me regarder, jusqu'au dernier moment, elle s'est retourner dans ma direction, une main, munie de gant noir, posée sur la poignet de la porte, et m'a simplement dit, d'un ton glacial:

"Rappelle toi bien de ma présence. Ça sera la dernière."

Seulement quelques temps.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant