La Fairy School

Chapitre 16

PDV EXTERNE :

Poluschuska et Mavis perdirent de vu les autres dès leur entrée dans la boîte.

N'aimant pas l'ambiance et tout ce bruit, elles sortirent de la boîte après s'être fait accosté par des personnes qui était sûrement soûls.
Elles se dirigèrent vers le parc le plus proche en discutant avant de s'asseoir sur un des multiples bancs vides mis à disposition.

Elles finirent par s'allonger dans l'herbe par ce chaud soir d'été.
Elles regardèrent les étoiles apparaître peu à peu jusqu'à qu'une étoile filante passe.
Vite suivi par une deuxième, une troisième, jusqu'à que le ciel nocturne soit totalement éclairait par ce magnifique spectacle.

C'est ce moment que choisi deux personnes pour apparaître dans le parc avant de s'allonger à côté des filles toujours fasciné par le spectacle qui s'offrer à elles.
Les garçons restèrent allongés à côté d'elles jusqu'à qu'elles les remarquent et rougissent immédiatement, tandis que les garçons faisaient de même.

Poluschuska: S-salut...

Bob: S-salut...

Mavis: Que faites vous ici?

Zeleph: N-nous sommes v-venus voir les étoiles !

Les 4 personnes se séparèrent en deux groupes.
Mavis et Zeleph, et Poluschuska et Bob.

Il a l'air se promener dans le parc, deux par deux, leurs mains se frôlant.

Ce fut Zeleph qui prie en premier l'initiative, prenant la main de Mavis

Poluschuska fit pareille de son côté sous le regard surpris de son compagnon.
Ils se regardèrent les yeux dans les yeux, hypnotiser, avant de s'embrasser.

Du côté de Zeleph, Mavis enlaça ses doigts avec ceux de Zeleph qui la regarda surpris avant de se pencher vers les lèvres qu'il rêvait d'embrasser depuis longtemps.

Retour aux présent,  PDV LUCY :

Rappel:

Rogue: C'est normal... Qu'à tu vu pour te mettre dans cet état?

Lucy: Sting...

Je recommencais à pleurer tandis qu'on me réconfortait.

Quand mon corps fut vide de toutes les larmes qu'il avait, je restais avec Rogue à regarder les étoiles toutes la nuit.

Je découvrais qu'il avait lui aussi une passion sur les étoiles et nous parlâmes jusqu'au levé du jour.