2eme partie. chapitre 17.

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Son bras autour de ma taille ,ses beaux yeux sont clos ,ses sourcils foncés même en dormant il est la perfection. Je l'attendait hier soir mais le sommeil m'a emporter, je ne sais pas à quelle heure il est rentré mais voyant sa mine il est exténué. Je regarde l'horloge accroché au mur et je remarque qu'il est deux heures du matin, aujourd'hui est  la veille de du jour de  l'an, déjà cinq jours depuis qu'on est installé ici, je m'habitue pas encore à cette chambre spacieuse et luxueuse, monsieur nous a fait emménager dans une autre chambre, la salle de bain en elle même est une chambre sans parler du dressing, on aura jamais assez de vêtement et de chaussures pour comblé tous ce vide. En face de notre lit douillet il y a une baie vitrée teinté qui mène sur un long et large balcon qui donne la vue sur un immense jardin. Un ecrans géant plat est sur un mur ,des tables ayant des lampes de nuit a chaque côté du lit,plus loin il y a nos ordinateurs, Monsieur a voulu nous en faire cadeau mais Miguel a refusé, il dit qu'il en payera avec son salaire, on a des nouveaux vêtements et chaussures que Miguel insiste de payer aussi, tout était confortable et luxueuse dans notre chambre. Avant hier on a fait la visite de l'île entière, la maison est une villa , il y a beaucoup de chambres, de bureau, de salon, faut avoir un GPS pour ne pas se perdre dans ces immenses couloirs. La villa est entouré d'un immense jardin. A quelques mètres de la villa on trouve un hôpital très grand et luxueuse avec des appareils sophistiqué. A quelques mètre de l'hôpital se trouve  l'orphelinat , elle est immense et plus grande que la villa ,chaque chambre comporte 10 filles ou dix garçons, il y a un terrain de football, de basket-ball, de vole ball, une gymnase et deux piscines, tout ça n'appartient qu'aux orphelins, il y a deux bâtiments pour les cours ,une pour les filles et l'autre pour les garçons, un peu plus loin il y a une grande université comportant plusieurs facultés, les bibliothèques sont immense, les salles de détente aussi , il y a une grande maison pour tout les employés ,que ce soit professeur, médecin, cuisinière et jardinier le pire c'est qu'ils sont tous des étrangers, les caméras sont partout sauf dans les chambres. Pourquoi est-il aussi fortuné et il n'a pas de famille, il n'a jamais mentionné le nom d'une femme, aucun photo d'une femme ou des enfants  accrochés au mur, il y a une  chambre dans la villa que nul n'a accès sauf lui et sa gouvernante, au début j'ai voulu entrer malgré ses ordonnances mais la porte n'a pas de serrure pour que j'entre faudrait couper la main de monsieur ou de sa gouvernante. Les cours  recommenceront  le trois janvier, on a pas eu trop de congé, les étudiants en médecine ici ne prend pas du repos ,car il continue leurs recherches, j'ai pas mis les pieds depuis deux jours j'avais besoin de repos, je me sens seule ici, ils sont tous puceaux et vierges par ici même les sujets de conversation est basé sur les études ,pas de vie sexuelle ou de musique détendu, ils sont tous brillants, va falloir s'acharner si tu veux être parmi les meilleurs Alandra, Sarah me manques énormément, la seule amie que j'ai mais je peux pas la contacté ,tout contact à l'extérieur peut conduire à notre mort m'as répété monsieur , on doit laissé croire qu'on est mort, je déteste cette vie fugitive, les larmes déversent sur mes joues, tandis que je caresse les cheveux de Miguel qui dort toujours, je pleure toutes les larmes de mon corp jusqu'à ce que je tombe dans les bras du morphée .

Le soleil caresse sa peau douce ,ses longs cheveux blonds sont en pagaille ,ses yeux sont bouffis comme si elle a pleuré toute la nuit, il était presque minuit quand je me suis couché auprès d'elle, je n'ai pas voulue la réveillée et encore la je veux pas le faire, il est presque dix heures du matin , monsieur m'as donné congé pour deux jours, j'irai travailler le deux janvier, ces jours ci j'ai un peu abandonné ma Alandra, mais je compte m'en faire pardonner aujourd'hui, elle est tellement Belle dans cette nuisette transparente, je ne la ferai jamais du mal je l'aime trop.

J'ouvre les yeux lentement à ma grande surprise je vois que Miguel est là et me regarde,je remarque qu'il est déjà dix heures et vingt minutes il me sourit et d'un coup m'enlace de ses larges bras et dépose un baiser sur mon front ,je lui rend son étreinte et le sourit également.

Mon Coeur est partiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant