Anchor 9: Origine du Delta

L'Enclave (Valentine)

[N.P.F, dans le centre médical]
Point de vue de Valentine
J'étais entrain d'écrire mon rapport sur le résident numéro 81, à savoir Nickson Garvey. Il semblait aller mieux après son réveil dans le complexe. Soudainement, un soldat entra brusquement dans mon bureau sans cogner, quelque chose se passait...

-Garde N.P.F: mademoiselle, il se passe quelque chose à la cafétéria, nous avons besoin de votre intervention immédiatement !
-Valentine: que se passe t'il soldat ?!
-Garde N.P.F: une confrontation entre le résident 81 et le Major Walls !
-Valentine: oh non ! *s'empare de sa trousse de premier soin* j'arrive !

Le soldat et moi courons jusqu'à la cafétéria, pendant notre course, des gardes armés de fusils d'assaut et d'arme électrique se joignent à nous, sa semblait vraiment grave... je savais que 81 et Walls ne s'appréciait guère... mais là, sa semblait dépasser les limites, nous arrivons jusqu'à la cafétéria et la, le pire. 81 était retenu par deux soldats de l'U.E.A, Reilly était au sol et le résident 188 (Stalker) à quatre pattes dans une mare de sang, les deux rivaux avait perdu connaissance. Je vies 188 se relever en essuyant le sang qu'il avait sur le nez, il me regarda dans les yeux et dit d'une voix tremblante:«J'ai fais une connerie ?». Ce fut ces dernière parole avant qu'il ne s'écroule au sol. J'étais effrayée par le carnage qui venait de se terminer juste devant mes yeux, que c'était t'il passé ?! En plus, le Docteur Hart, le responsable de l'aile médical du complexe était parti à Denver pour une opération très importante... il fallait donc que je me tape tout le boulot car j'étais la seule chirurgienne... les gardes apportaient des civières et placèrent les trois hommes dessus. L'un des soldats du Major s'approcha de moi, son casque semblait légèrement casser sur le côté droit.

-Soldat U.E.A: mes excuses madame, je suppose que vous avez besoin d'explication...
-Valentine: en effet...
-Soldat U.E.A: numéro 81 à attaqué le Major avec une fourchette, ensuite, le Major à riposté et voilà...
-Valentine: pourquoi avez vous une fissure au casque soldat ?
-Soldat U.E.A: 188 m'avait frappé pendant que je m'assurais que personne n'assiste 81...
-Valentine: abruti ! Pourquoi n'avez vous pas fait stopper la bagarre !
-Soldat U.E.A: je ne pouvais pas ! Je n'avais aucun moyen...
-Valentine: *prends le Colt M4 du soldat* c'est quoi ça hein ?!
-Soldat U.E.A: *ne dit rien*

Je tourna le dos au soldat pour me diriger vers mes collègues du S.C.A.F qui eux au moin, sont nettement plus travaillant que ces bons à rien du ACA. Trois gardes m'ont accompagnés avec les civières jusqu'au sales d'opérations. Les gars ont placé le Major en priorité, sous peine de me faire «défoncer par mon patron»... j'arrivais finalement dans le bloc opératoire où se trouvait déjà tout mon matériel. Le Docteur Simon s'y trouvait, Simon, c'est l'assistant de Docteur Hart, habituellement, Simon était toujours avec le vieux...

-Valentine: Simon ? Que fais tu ici ?
-Dr.Simon: ah Valentine, j'ai reçu l'appel, Hart m'a laisser quitter Denver pour revenir ici
-Valentine: j'aurais pus me débrouiller !
-Dr.Simon: non... pas après se qui viens de se produire, le directeur vient de commettre la connerie du siècle !
-Valentine: pardon ?
-Dr.Simon: il vient de laisser la prison à un groupe de scientifique militaire nommé l'Enclave...
-Valentine: c'est quoi se bordel ? *met s'est gants*
-Dr.Simon: *met son masque de chirurgie* ils disent être en mesure de s'occuper de la prison mieux que personne...
-Valentine: quoi ? *commence à retirer la fourchette du corps de Reilly* tu veux dire que le S.C.A.F ne peut pas le faire ?
-Dr.Simon: exactement... d'ailleurs, pourquoi tu t'occupe du Major ?
-Valentine: Ben... c'est un supérieur dans l'ACA
-Dr.Simon: l'ACA a déjà mobiliser une unité de secoure, l'ACA retourne à Denver...
-Valentine: enfin... ils commençait à casser les couilles !
-Dr.Simon: je n't'fais pas dire !
-Soldat du ACA: *cogne à la porte* ACA ! Ouvrez immédiatement !
-Dr.Simon: j'ar...

Avant même que Simon puissent finir sa phrase, un soldat défonce la porte et entre dans la salle d'opération, arme à la main et accompagné par six autres soldats, un Sergent et une jeune fille entra dans la salle

-Sergent Johnson: bas les pattes ! Ne toucher pas le Major Walls !
-Ellie: rendez moi mon frère !
-Valentine: ces bon ! Ça va !
-Sergent Johnson: rendez nous le Major !
-Soldat du ACA: on s'en occupe Sergent ! *aide un autre soldat à prendre la civière de Reilly*
-Sergent Johnson: ces beau Ellie, ton frère rentrera à la maison...
-Sergent Johnson: En avant ACA !!

Le Sergent et ces hommes quittèrent le complexe, enfin l'ACA quittèrent N.P.F ! Simon avait décider de s'occuper de 188 pendant que moi je m'occupe de 81. Il était dans un état lamentable, pendant l'opération, je m'étais posée des questions sur ce fameux "Enclave"... qui était t'ils réellement ? Pourquoi prendre N.P.F ? Que des questions, aucune réponses. Simon avait fini de soigner 188, en même temps, il s'est simplement prit un simple coup de crosse sur la tête... pendant je Simon et moi s'occupions de 81, des hommes portant des armures blindées sont entrés dans la salle de 188. Les hommes avait sur leurs épaules une emblème, toute simple, un «E» c'était eux ? L'Enclave ? Simon quitta la salle et entre dans celle de 188, je le vis sur l'écran du CCTV, je n'entendais rien mais je voyais que Simon semblait en colère... l'un des mastodontes prit Simon par le collet et lui enfonça son poing métallique sur le visage... Simon s'écroula au sol en se tenant le nez. J'étais sous le choc, quatre incidents sévère dans la même journée ! Avant que les gardes ne viennent dans la salle d'opération, je pris la civière de 81 et je quitta la salle, comme si rien n'était...

-Nick: *tousse* doc... on n'est où ?
-Valentine: *chuchote* ne faites pas de bruit... rester calme... je vous en pris...
-Soldat de l'Enclave: madame, vous allez où comme ça ?
-Valentine: je... je m'occupais de ramener ce résident à sa cellule, un accident avec un autre résident...
-Soldat de l'Enclave: laisser nous vous aider...
-Valentine: nan sa va aller !