Animaux - Martin Garrix [Terminé]

Chapitre 16; Sidney

Juillet 2017

Je suis allongée et réveiller depuis des heures. Le soleil s'est lever il y a environ deux heures. Je suis fatiguée et j'ai mal. Puis on toque a ma porte.

Martin s'avance. J'essaye de me redressé mais ma blessure me fait beaucoup trop mal. Je grimace. Martin s'empresse de me remettre dans ma position

- Là, essaye de ne pas trop bouger, dit-il

- Je suis désolée, dis-je

- C'est toi qui a voulu me sauver la vie et c'est toi qui dit désolée ? Demande-t-il en s'asseyant à côté de moi

- Désolée pour hier, de ne pas être venue, de ne pas avoir fait mon boulot...je commence

- Hey, c'est rien, je te jure. Tu m'as sauvée la vie et tu m'as même pas laisser te sauvé la tienne, alors c'est plutôt moi qui devrais dire désolé, tu crois pas ? M'interroge-t-il

- Il fallait que soit en sécurité, tant de monde tient a toi, alors que moi, a part mon père et ma meilleure amie tous le monde s'en fou, si je serais morte j'aurais fait l'effet d'une grenade, j'aurai blessser un certain nombre de personne, mais toi... tu aurais fait l'effet d'une bombe nucléaire, tu aurais laisser tant de monde, j'explique

- Moi je m'en fou pas que tu meurs, alors que moi j'aurais certe laisser des personnes qui m'aimes mais au moins j'aurais su que toi tu serais en vie, dit-il

- Je ne voulais pas que tu meurs, dis-je tristement

Il m'enlace et me sert aussi fort qu'il peut. Des larmes coules, de quoi, j'en sais rien. Puis il me relache doucement. Il reste toute la matinée avec moi. On discute de la soirée d'hier soir.

- J'ai vu un grand ami hier, j'aurais aimer que tu le rencontre ce soir, dit-il

- On a qu'a demander que je sorte juste ce soir, je propose

- Ils ne voudront jamais, dit-il

Je ne sais même pas combien de temps je vais rester ici, mais j'ai pas l'intention de rester dix mille ans. Un médecin arrive dans la chambre.

- Votre blessure n'est pas très grave, vous avez eu énormément de chance la balle n'a pas traversé ni touché un organe. On vous la retirer puis on a recousu. Vous pourrez sortir demain si tous va bien, dit le médecin

Je suis étonné que je puisse sortir aussi tôt. Le médecin sort de la chambre. Je regarde Martin, il souris. La nuit passe vite. Le lendemain je sort en début d'après-midi. Il est temps d'aller a Sidney. On prend l'avion. Le vol se passe dans le silence. Sidney est magnifique. Enfin vu de haut. On atterrit en douceur. On se rend a l'hôtel. On pose nos affaires.

Je dois remplacer mon bandage. J'ai tous ce qu'il faut dans ma valise. Je demande a Martin de m'aider. Quoi ? C'est celui qui était le plus proche.

Je m'enlève délicatement le pansement. Une énorme cicatrice est entrain de se former. C'est asser degeulasse. On va pas se le cacher. En plus il y a encore les points de suture. J'enlève le sang avec du désinfectant et un coton. Martin me desinfecte la plaie. Ça fais un mal de chien.