The gang girl. (Castiel)

Chapitre 1

Je suis devant la porte du bureau de Yakusa. Vous vous demandez surement: un bureau ? Et moi je vous répond que oui, un bureau. Il y a 1 an mon gang a prit possession d'un immeuble désaffecté qui se trouve dans un quartier pauvre de Tokyo. Je disais donc que je me dirigeais vers le bureau de Yakusa. Une fois arrivée devant la grande porte je rentre sans prendre la peine de frapper.

-Bienvenue, me dit Yakusa, tu en as mis du temps.

Yakusa est un jeune homme qui doit avoir 18 ans (1 an de plus que moi) il est grand, mince et musclé. Il s'est récemment teint les cheveux en bleus, ses yeux sont d'un noirs glacial et personne à part moi n'ose plongé sont regarde dans le sien. Les rumeurs disent qu'il aurait tué ses propres parents mais nulle ne sait pourquoi, et on dit aussi que quand il est énervé il ne vaux mieux pas se trouver sur son chemin sinon on est bon pour 1 mois d'ostaux!

-Yo, rétorquais-je, alors qu'est ce que tu me veux cette fois ?

-Ne t'énerve pas, je voulais te parler de notre ennemis, le gang Takaki.

-J'aime pas quand tu tourne autour du pot comme ça car généralement ça veux dire que tu vas me refiler une mission de merde alors je t'en prie accouche !

-Bon, comme tu le sais ce gang est notre ennemis premier et nous faisons tout pour avoir des info sur eux. Nous avons appris que l'une de leur meilleure recrue est partie pour devenir "normal", je veux que tu ailles dans le même lycée que ce garçon et que tu lui sous-tire des infos sur son ancien gang.

-Et comment je fais ça moi ? Je l'assomme et je le ramène ici par la peau du cul ?

Yakusa rit, puis il se calme et me dit:

-Non, tu es une jeune fille, jolie, intelligente, tu as tout pour plaire. Donc tu vas gagner son cœur, prendre des infos et le persuadé de rejoindre mon gang. Quand Mahiro apprendra que l'une de ses anciennes recrue est venue vers moi il va devenir fou de rage.

-Quel plan diabolique, j'en es des frissons dans le dos. (attention humour)

-Bien, alors tu parts demain matin !

-Génial ! (encore humour)

Et je tournes les talons.