partie 12

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Partie 12

Toute la nuit je n'ai pas pu dormir ,j'ai passé ma nuit à me morfondre sur mon sort. Rien qu'a y pensé je me déteste vraiment😭😭😭...

Le matin je me réveil avec un mal de tête horrible, je cherche Halima et je ne la vois pas. Je sort de la chambre à ma grande surprise ses parents me dévisageaint et j'ai vite compris la vidéo avait déjà circuler partout dans la ville

Moi: salam aleykoum !

Halima: bien dormi ?

Moi: oui....-en me coupant-

Père de Halima: on s'en fou qu'elle aille bien ou pas

Abdoul-rahoufk(son frère): MAIS QU'ELLE PARTE SINON ELLE VA NOUS FOUDRE LA HONTE AUSSI

Moi: pardonnez moi c'était pas voulu croyez moi svp

Halima: POURQUOI VOUS LÀ JUGER AUSSI VITE QUE ÇA ? AU LEIU DE CHERCHER À COMMPREND SON HISTOIRE, VOUS LA CHASSEZ

Sa mère : hey toi là tu baisse de ton, fou nous cette p*** de chez je veux pas de honte dans ma famille

Halima: mais....

Abdoul-raouf: il y a pas de mais qui tienne

Son père: mettre la hors de chez je veux plus voir sa putaine de face là, hey Allah j'ai même pitié pour tes pauvres parents

Sa mère: ils seront la riser de la ville

Je me suis tue, que pourrais je faire d'autre à part prendre mais cli et mes clac pour partir loin d'ici. J'étais en larme la seule chose que je voulais c'était de mourir. J'ai détruit ma propre famille, quelle honte! Maintenant où vais je aller? Personne ne voudra de moi! Seigneur que vais je devenir?? 😭😭😭

Dorénavant le nouveau chez moi c'est la rue, je n'ai nul part où allé à part erer dans la rue oyuwa suis fini. Après une longue marche sans savoir où aller je me suis arrêté quelque part en route, me suis assise sur ma valise entrain de réfléchi encore et encore surtout en pleure ...

Des heures passaient et j'étais toujours à la même place comme une orpheline. Un moment je vois un groupe de gars bizarre façon façon là, ils me regardèrent aussi avec un sourire malicieux, mamasara dans ma tête cela disait cours avant qu'il ne soit trop tard. Je n'ai même pas réfléchi longtemps j'ai couru comme il n'est pas permis, sans regarder derrière en même temps il me cousaient aussi. Suis arrivé dans un endroit où il y'a pleine de personnes et je me suis arrêté pour essouffler parce que suis à bout là.... Massa je n'avais pas d'autres choix que d'aller me réfugé  chez celui qui détruite .

J'arrive devant chez lui en pleurant bien sûr, suis devenu une vraie fragile

Lui: tu fou quoi ici?

Moi: à cause de toi je suis devenu sdf

Lui: est-ce mon pb alors?

Moi: heunn c'est  ton pb pian, bref tu me laisse entrer ou pas ?

Lui: hmmm entre crois pas que je t'aime c'est parce que tu fais peine à voir ma pauvre

Moi:.... comme si je voulais que tu m'aimes n'importe quoi oui

Lui: ferme ta bouche là bas hayy

Moi: guéou

[...]

Lui: hey toi là

Moi: mais fiche moi la paix, suis fatigué et puis laisse moi dormir, c'est how ( comment ) même !

Lui: tu n'es pas venu ici pour dormir espèce de waka ( prostituée )

Moi: embecile va! Avec ta tête on dirai iyam là, c'est ta sœur la waka, villageois

Lui: merkdé la go ci joue avec mes nerfs, tu vas vite te calmer sinon je te fou à la porte.

Hmmm de toutes les façons je n'ai pas le choix, que de me retrouver à la rue, la où il y a les bandis partout je préfère me taire ooo.

Moi:....

Lui: fallait parler, waka

J'ai rien dit, je me suis contenté de me coucher pour dormi. Mais cette énergumène n'était pas du même avis

Moi: ahaha tu veux quoi encore norrh?

Lui: tu sais ce que je veux donc fait pas semblent sinon je vais te baffer très mal ....

Moi: preffff

Lui: si c'est avec la force je le ferai donc me pousse pas a bout

Moi:....

[...]

J'ai vraiment pas dormi de la nuit à cause de ce fou, je sais pas jusqu'à quand vais je supporter cette situation, c'est trop, ma famille et mes amis me manque mais je n'y peux rien. J'ai même arrêté de prier, kayy mon cas est lourd! Hmmm

Je me leve, puis je fais le ménage pour ne pas m'ennyer. Je vous passe des mois, je suis toujours chez Zoubairou mais je compte m'en aller un jour ou l'autre, ma famille m'a reniée, je suis devenu une grosse waka numéro 1 du Cameroun d'après les on dit du quartier, peut-être même du k-mer. Je ne sort plus, je m'apitoyais  sur mon sort, j'étais en totalement dépression.

Hmmm e Zoubi quant à lui s'en fichais bien de ce qui pourrait m'arriver, il est sans cœur mais tôt ou tard la roue tourne...

Jasmine: si seulement j'avais su...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant