Une Vie ...Un Amour

Chapitre : 15

L'infirmière s'appelle Karine mais je l'ai appelé infirmière '' Kariboul '' en référence a son arrière cour ( derrière ) assez volumineux  et comme je m'en doutait elle avait 19 ans et était en stage d'approbation de fin d'étude elle mesure environ 1,68m elle avait un teint claire ébène ,un visage ovale avec un grain de beauté sur les lèvres ce qui avait forcément son effet elle est intelligente et perspicace elle est arrivé a plusieurs reprises a m'impressionner avec son vocabulaire riche et surtout un trop insolent a mon goût elle n'a peur de rien disait elle et elle était d'une beauté enivrante son regard était perçant et interrogateurs a la fois il m'était presque impossible de lui mentir quand elle me regardait dans les yeux . Kariboul était une énigme en elle même un questionnement ou une philosophie . Dans l'hôpital au bout d'une semaine j'étais devenue très populaire j'étais comme un bon samaritain moderne j'assistais le ''docteur beau gosse'' dans certains consultations en général avec les enfants de moi de dix ans très vite ma présence était apprécié de tous moi accompagné de mon grand porte perfusion que je traînait presque partout dans l'hôpital . je suis dans ma dernière semaines de soins a l'hôpital et je faisait tout mon possible pour attiré l'infirmière kariboul dans ma chambre et en profité pour la peloter mais malheureusement elle était très occupé et sollicité de tout part mais cependant dans certaines discussion que j'ai eu la chance d'avoir avec elle elle m'as promis un baisé alors j'ai attendue pendant deux jour sans la voir une seul fois .On était a présent mercredi apres mon bain je me suis habillée puis j'ai manger pendant mon repas je tapotais sur mon téléphone quand je reçu un apel de Marianne bien dsur je ne décrochait pas je pris juste la peine de laisse le téléphone sonne puis je reçu un message de la même personnes voici le message qu'il véhiculait

'' Bonjour Enzo j'espère que tu te remet bien de tes blessures je voulais juste t'informer que tout allait bien a l'école et que je vais te rendre une petite visite un de ces jour quand j'en aurait l'occasion ! ''

Pardon ? Me rendre visite elle a bue ou quoi ? Non je vais remédier a ce problème je bondit de mon lit puis me dirigeait a présent vers la porte de ma chambre je tournait la poignée quand je faillis rentrer dans quelqu'un je reculait et croisait le regard de l'infirmière kariboul

-Enzo tu est bien pressé tu as vue un fantôme ou quoi ?
-Non je vais a l'accueil je reviens dans pas longtemps attend moi !
-Ok !

Je sortie en trombe et courue vers l'accueil je croisait Mme Jeanette une dame du troisième âge qui avait apprécié mes service en tant que pseudo infirmiers mes tâches a sont chevet était très simple :veiller a son confort et son bien-être car elle possède une grande fortune il paraît qu'elle ferait un don a l'hôpital si on la traitait comme il le fallait jusqu'à sa mort elle n'avait aucun parent proche pas de fils encore moins de petit fils mais elle m'as confié un jour qu'elle eu un mari qui l'avait trompé très top dans leurs relations elle demanda le divorce et obtenu une partie des biens de ce dernier elle ne pue se remarier elle disait ne plus  avoir confiance en  aucun hommes . j'étais un peut triste pour elle ,n'avoir personnes a qui parler a part a un adolescents qui fait de bénévolat . je la dépassait en vitesse et arrivait en trombe a l'accueil devant l'infirmière Joana , de toute le personnel de l'hôpital c'était la plus détestable elle n'aimait pas son travail et passe sont temps sur des réseau sociaux a papoter avec je ne sais qui elle a un appel chaque deux minutes et mîmes d'être occupé au travail .

-Bonjour lachais - je hors d'haleine
-Ah c'est toi qu'est-ce-que tu me veut
-Juste un service !
-Tu as deux minutes !
-j'aimerais que tu filtre une visite pour moi ?
-Que je filtre une visite !!? Quoi qui tu déteste autant ?
-Mon ex son nom c'est Marianne Moreno !

Elle nota le nom sur un bout de papier et le répéta pendant trente seconde et ensuite s'accoude a la table en faisant frotter ces doigts entre eux