Au loin, s'approchait le train militaire nazi qui approvisionnait le camp de concentration environ deux fois par moi.
Olivier était en plein milieu du pont.
Il n'avait pas le temps de revenir sur ses pas et ne pouvait même pas penser d'avancer, au risque de rencontrer la locomotive.
Olivier a beau avoir manqué d'éducation durant ses dernières années au camp mais, pas besoin d'un diplôme pour savoir que rencontrer un train qui fonce à plusieurs Km/h en plein dans le front peut éventuellement faire mal.
Encore là, cela dépend de la tolérance à la douleur de chacun.
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Fugitif Allemand
NouvellesIl y a deux manière de s'enfuir d'un camp de concentration, mourrir ou s'échapper. Si on réussi à fuir, que fait-on ensuite? On rentre à la maison? Si on a encore une maison évidemment. Olivier ne souhaite que de revoir sa famille. Ces 3 dernières a...
