Chapitre un.

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Kurumi se leva lentement. Elle va voyager, avec sa classe, aux Etats-Unis pour participer à un échange scolaire. Le gouvernement ayant remarqué que le niveau d'anglais des étudiants japonais a baissé, a décider d'envoyer tous les étudiants de terminal du Japon dans un pays anglophone afin de les aider à améliorer leur niveau en langue vivante.

Kurumi n'a jamais apprécié les échanges scolaire, et elle les appréciait encore moins lorsqu'ils vont dans un autre pays. Elle trouvais que c'était une perte de temps. Sans compter le décalage horaire, ce voyage ne serait qu'un véritable carnage. Mais ce n'est pas comme si elle avait le chois. Sa mère, qui était la meilleur étudiante en anglais de sa ville a (En quelque sorte.) ""Obligé"" Kurumi a y participer.

_Kurumi si tu ne te lève pas, tu lavera les toilettes jusqu'à la fin de tes jours.

La voix de sa mère lui transpercait les oreilles. Elle n'avait pas vraiment envie d'aller aux Etats-Unis, mais rien que l'idée de rentré dans les toilettes de son "humble demeure" lui donnait des nausées.

La principale raison pour laquelle Kurumi n'aime pas voyager, est qu'elle a le mal des transports. Rien que dans un ascenseur, des vagues de nausées la submerge, imaginait dans un avion.

Le trajet se déroule tout d'abord en bus, pour aller à l'aéroport de Tokyo, puis en avion, pour aller à New-York, et enfin le train pour prendre la direction de Washington.

Lors de la traversée de l'océan Pacifique en avion, le siège de Kurumi se trouvait entre celui d'un prétentieux qui ne parle que de sa vie. Et une fille qui a passé son temps à lire Sherlock Holmes.

Mais le fait qu'un prétentieux parle de sa vie ou qu'une jeune femme pousse des cris de stupéfaction a chaque page ne lui posait aucun problème, car, elle ne s'est pas installé une seul fois sur son siège, non, elle a préférer passé 10 h dans les toilettes, a vomir son déjeuner.

A l'arrivée, le ministre de l'éducation japonaise leur expliquèrent comment allé se déroulé les six mois à venir.

Ils allaient être séparé en groupe de quatre et vont aller dans une maison d'accueil. Le proviseur de chacune des écoles leur remit leurs emplois du temps respectif.

Kurumi se trouvait avec deux garçon et une fille. Quand ils étaient arrivé a la maison des personnes qui allaient les accueillir. Ils purent faire connaissance entre eux.

Kurumi découvra alors que deux des personnes qui partage la maison avec elle ne sont autre que le petit prétentieux et la lectrice de l'oeuvre de Conan Doyle.

Les personnes qui les accueuillir sont une vielle femme son mari, son fils et sa bru.

_ Je suis Tokisaki Kurumi. Je viens de Akita.

_Moi c'est Hattori Heiji, et je viens d'Osaka, continua le petit prétentieux.

_Quand a moi je suis Takamura Minori. Je viens de Hiroshima. Se présenta la lectrice d'un air solonèle.

_ Et moi je suis Kudo Shinichi, et viens de Tokyo. La capitale.

Kurumi ne put s'empêcher de faire le rapprochement avec le fameux proverbe:
A l'Est, Kudo. A l'Ouest, Hattori.

La chance leur aura sourit, leur famille d'accueil est japonaise d'origine. Ils auraient déménagé pour les études du jeune homme. La famille l'a suivi et c'est en Amérique qu'il a rencontré l'amour de sa vie.

Ils allaient à l'école américaine du lundi au samedi. Et avaient trois vacances de deux semaines.

Kurumi et Minori étaient devenu les meilleurs amis au monde. Elles aidaient au travaux ménagé et passaient leur temps à lire Conan Doyle.

Ce fut en hiver que la première catastrophe apparut, au mois de Février pour être plus précis. Le froid qui pousse les animaux a l'hibernation ou a la migration n'a été que source de problème pour la bande des détectives. Ce matin qui a ete plutôt doux pour un mois de Février n'a rien eu d'une belle matinée ensoleillée, mais plutôt d'un début de journée ensanglanté.

La bande des quatre étaient dans la même classe. Arrivé à l'école, un cri d'horreur vint animé leur matinée. C'étaient la voix de la dame de service. La bande des quatre s'imaginant touts les scénarios les plus meurtrier mais aussi les plus excitants pour des détectives accoururent jusqu'au dépôt.  Ce qu'il virent n'avait rien d'un parfait tableau a l'eau de rose. C'était une fille, pendu au plafond avec un poignard dans le dos. Le sang coulait le long de son corp pour atterrir sur le plancher en bois qui avait prit une teinte sinistre. Ce vulgaire dépôt était devenu une scène de crime des plus cruelle.

Qu'en est-il du Nord ? La Nouvelle Légende.Where stories live. Discover now