Chapitre quatre

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Ce rapport des plus détaillé a été d'une grande aide aux autres colocataires de Kurumi qui ce sont introduit sans le moindre bruit pendant que l'intention des enquêteurs était rivé sur Kurumi. A part Kurumi qui d'une grande aide,  Shinichi, Heiji, et Minori n'avait pas était autorisé à pénétrer sur les lieux de ce crime sans scrupules.

_La victime est du nom de Mikashi Ibura, 35 ans, professeur japonaise participant à l'échange scolaire organiser avec les élèves du Japon et des Etats-Unis. Dit le commissaire Eurène.

_Merci commissaire, remercia l'inspecteur McDessens.

L'enquete de la bande des quatre qui se déroulait en secret avançait plutôt bien malgré le fait est-ce qu'ils devaient réaliser leur travail caché comme des meurtriers en train d'effacer la preuve de leur culpabilité. Jamais ils n'avaient subit une telle humiliation. Mais pour ce donner du courage, il se souvenait que dans leur animé favoris, Le Détective Conan, le plus grand détective de l'est a dut subir lui aussi cette humiliation, cette humiliation d'agir en secret, cette humiliation de ne pas pouvoir agir à leur guise. Mais tant que la justice règne, la plus humiliante des situations ne poserai aucunement problème tel que soit le détective ainsi que la situation et le crime.

Quoi qu'il en soit, la justice reste un mot que l'on ne peut pas employer à sa guise. Certaines personnes font une grave erreur en se servant de ce mot pour justifier leurs actes. Ce mot est très proche du mot courage. Le mot courage s'emploie dans le cadre de la justice. L'on a pas le droit l'employer pour justifier son acte criminel.

_Bon, je vous ai vu bande de détective amateur, puisque vous semblez tant tenir à nous aider, dites nous quelles sont les personnes les plus susceptible de venir ici entre 6 heures du matin et  8 heure et demi. Demanda le commissaire Eurène.

_Alors, il y a les profs, et le directeur. Dit Heiji.

_Les dames de service. continua Minori.

_Et la  fille chargée de nourrir les poissons. Termina Shinichi.

Ces personnes furent interrogées. Les 7 professeurs ainsi le directeur, les 3 dames de service et l'élève. Quatre des professeurs possèdent des alibis, ils étaient avec le directeur dans son bureau en train de discuter des examens de fin d'année. aucun d'entre eux n'a quitter le bureau à part pour aller aux toilettes mais ça ne prit pas plus de 5 minutes et ce fut beaucoup trop court pour arrivait a tuer qui que ce soit. Deux des dames de service étaient en train de boire un thé dans un range ballais. la dernière n'est autre que celle qui a découvert le cadavre. Tant dis que la fille chargeait de nourrir les poissons n'était pas là pour cause d'un rendez-vous médical. Ce qui réduit le nombre de suspect à quatre. Ce qui ne déplait nullement à nos détectives en herbe, au contraire, cela augmentera les chances de réussite de cette affaire.

_Madame, pourquoi êtes vous venu dans ce dépôt ? Demanda Kurumi.

_Attendez, vous ne serez pas en train de me soupçonner par hasard ? Interrogea l'unique dame de service ne possédant pas d'alibi.

_Sachez, madame, qu'un détective n'écarte sous aucun prétexte le moindre suspect, quel que soit les rapports entre ce dernier et le suspect. Et donc, auriez-vous la gentillesse de me répondre ?

_Eh bien, j'étais venu cherchez des gants ainsi qu'un nettoyant pour vitre, quand je nettoyer la salle de mathématiques, j'ai fais tombé le pot de craie. De la poussière s'est évaporée et s'est colée sur les vitres. J'ai juste voulu nettoyer, je ne voie pas en quoi cela pourrait faire de moi une criminelle. s'expliqua la dame de service.

_Je vois, c'est bon, pas la peine de vous mettre dans tous ces états. répliqua l'inspecteur McDessens, Donc, bande de fouineurs, auriez-vous la gentillesse d'arrêter de jouer les détectives et de sortir de vos cachettes. Je sais vous voulez nous aidez mais vous nous gênez plus qu'autre chose.

L'inspecteur McDessens marquait un point, leur enquête commençait bien mais là, ils étaient bloqué. Leurs capacités d'analyse c'étaient envolées comme la neige dans le vent frais de l'hiver. Ils ne savaient guère ce qui leur arrivait, était-ce la vue d'un cadavre qui les perturbaient, non, ils étaient habitués. Peut-être que le fait qu'il y a si peut de suspects et que l'enquête paraissait plus difficile qu'elle n'en avait l'air. Non, ce n'est toujours pas ça. En tout cas, quel que soit la raison, ils étaient perturbés. Et ce n'est pas le moindre du monde professionnel. Ils devaient à tout pris mettre leur problèmes de coté et se concentré sur leur seul et unique objectif ; retrouver l'assassin.

Ils retournèrent une nouvelle fois encore sur les lieux du crime, au grand d'âme de l'inspecteur McDessens.   

Ce ne sont pas les indices qui manquent, dans son carnet, Minori Takamura notait le moindre petit détail. Les moindres faits et gestes des suspects, absolument tout ce qui se passait.

La vie est injuste, et aujourd'hui, elle avait décider de leur jouer de mauvais tours. Cette affaire n'était sûrement pas la plus difficile, mais pas non plus la plus facile.

Dans son carnet, Minori n'avait pas vraiment des informations très nécessaire, plus tôt les indices, les alibis etc... pas la moindre déduction, ni même une unique idée sur l'identité de l'assassin. Les indices était plus tôt bien empli d'éléments qui pouvais laisser croire à certaines déductions sur le déroulement demi crime, c'est vrai, mais l'on dirait qu'à chaque apparition d'un nouvel indice, toutes le déductions mises au point par nos chers détective partait à la poubelle.

La perturbation, les indices qui ne coïncident nullement, les déductions qui partaient à l'eau, tous ce chamboulaient dans la tête des détectives en herbes. L'enquête pouvait-elle continuer ainsi ? Devrait-il laisser place à l'ancienne génération ?
L'expression ne serait pas "tant de questions sans réponses", mais plutôt "tant de réponses sans questions.

Qu'en est-il du Nord ? La Nouvelle Légende.Where stories live. Discover now