Partie 1

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Dans une maison perdue du Québec, habitait une jeune fille de treize ans qui se nommait Sandrine, vivant sa belle vie de collégienne avec sa tante Annie.
Elle dormait paisiblement, de quoi rêvait-elle? Mais comme toutes celles de son âge voyons, d'un jeune garçon fort beau et musclé, tous les deux sur un bateau entrain de parler sous le ciel étoilé.
- Depuis si longtemps que je voulais t'en parler Hugo, malgré notre jeune âge, je voulais te dire que...que...

- Quoi donc Sandrine?

- Je..je t... je t'ai....

Quand un bruit de klaxon retentit

- Je ne t'ai pas entendu, tu pourrais répéter?

- Ce que je voulais dire c'est que je...

Et encore le bruit de klaxon

-Mais ce quoi ce bruit à la fin ?! Je voudrais parler!

Quand elle se réveilla sur la voix de sa tante:

- Réveille toi Sisi! Le bus est déjà là, tu va etre en retard au collège! Cria Annie

- Quoi?...... Bus?.... Collège?.... Répondit Sandrine en somnolent

- Sisi! Il est Lundi!

- Lundi?.....

- Oui!

- ...

Et elle se leva rapidement sur pieds et changea ses vêtements les premiers qu'elle trouva sous la main, pris son cartable sur son dos, mit un PAIN AU CHOCOLAT dans la bouche et un pain à la main, et dit avant de sortir:
- Et je t'ai dit plusieurs fois de ne plus m'apeller Sisi! Je ne suis plus petite!
Juste avant de monter dans le bus elle se rappela :
- Je n'aurrai pas laissé le grille pain allumé par hazard? Pensa-t-elle, ce n'est pas grave ma tante le remarquera sûrement.

Ainsi Sandrine passait ses journées au collège.
Tout se passait bien, quand la séance de 2H de matinée arriva.
- Comme vous pouvez le constater, si on additionne les carrés des deux côtés du triangles, la somme serra le carré de l'hypothenus. Dit Alexandre le professeur de Mathématiques. Sachant ceci, comment peut on calculer le côté AB? Ajouta-t-il en cherchant de ses yeux un élève.
On apercevait tous les élèves nerveux, certains regardaient le plafond afin de ne pas croiser le regard avec leurs professeur, d'autres plongeaient leurs nez dans les livres faisant semblant de réviser, y'en avait même quelques uns qu'il furent mine de dormir!
- Personne? Répliqua le professeur énervé. Et toi Sandrine?
- Alors... Euh.... Monsieur.... Bah... On va... Euh...
- Pouriez vous me donner une minute de votre temps professeur? Demanda une voix en ouvrant la porte
- Mais bien sûr monsieur le directeur, prenez tout votre temps, répondit Alexandre nerveux
- Je voudrais vous emprunter l'élève Sandrine quelques instants.

Alors Sandrine partit avec le directeur à son bureau.

- Ma fille je ne vais pas y aller par plusieurs chemins, j'ai le regret de t'annoncer.....
Il eût un moment de silence avant de continuer.
-Que ta tante est à l'hôpital, nous te donnons le droit de partir la visiter avant la fin des cours.
Avant même qu'elle ne s'en rende compte, Sandrine s'est retrouvé entrain de courir en larmes vers l'hôpital, quand elle arriva, elle trouva facilement la chambre où sa tante était allongé sur un lit, son visage était caché par un masque à Oxygène, du sérum était attaché à son bras droit.
La jeune fille s'adressa au docteur qui était debout à côté qu'elle n'avait même pas remarqué en entrant tellement elle était inquiète:
- Que lui est elle arrivé?! S'écria t elle. Pourrait elle s'en sortir??
- Elle aurait inspiré beaucoup de dioxyde de carbone qu'elle s'en ai trouvé inconsciente. Répondit il. J'ai aussi l'horreur d'ajouter, qu'à part un miracle rien ne pourra la sauver.
- Comment?! Dioxyde de carbon? La maison aurait-elle???
- Exactement, la maison a brûlé, la police est toujours entrain d'enquêter sur la cause.
C'est alors qu'elle se rappela du grille pain, et ses larmes commencèrent à couler telle des rivières sans fin.
- Je suis désolée tante Annie, tout est de ma faute, je n'aurai pas dû, je suis tellement désolée. Cria t elle les larmes aux yeux.
C'est alors que Annie ouvra légèrement les yeux, pris les mains de sa fille et lui dit:
- Ma fille....ne t'inquiète pas....je te pardonne....ne laisse personne t'intimider....tu peux vivre avec de toi même je le sais....mais pour l'instant je voudrai que tu reste avec ton oncle....vie sans regret....ma fille....
Elle la lâcha ses mains
- Non.... C'est impossible.....NON! JE NE PEUX L'ACCEPTER! TANTE ANNIE REVIENS!!!
Malheureusement, nous ne vivons pas dans un conte de fées, ni dans un monde de merveilles, le miracle ne se produit pas, et Annie quitta notre monde.
Le docteur ferma les yeux d'Annie, qui n'était plus qu'un cadavre mort.
C'est alors que Sandrine prononça les mots qu'elle n'aurai jamais dire, ne sachant pas que cette simple phrase bouleversera toute sa vie :
- Si seulement...si seulement je savais....comment ça aller se terminer....tante annie ne serrai jamais morte alors....
Quand soudain elle entendit une voix aiguë lui chuchotant à l'oreille :
- Si telle est ton vœu, qu'il soit exaucé.
À suivre...

Le CauchemortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant