Soulless / bad Stydia /

touch me

Rattrapé par le temps.
Victime d'un meurtre
Crise cardiaque
Choque trop violent
Cancer
Accident de voiture
Overdose de médicament
Problème cérébraux,

Voici la liste non exostive des causes de mort inventée par la police depuis 5 ans pour couvrir nos meurtres.

Avant, j'e ne m'en sousiais pas. Tuer a toujours été une passion chez moi ! Un ordre ! Une nature !

Avant, quelques gouttes de sang faisait comme bonjour à l'intérieur de ma tête.

Avant, j'aimais être une ombre

Avant, j'etais morte et insouciante.

Mais ça, c'était avant.

Stiles

-Stiles... Je veux partir d'ici ! J'ai tué des gens Stiles ! J'ai tué des innocents ! J'étais prête à tuer ma famille !!! Mon propre frère !

Lydia a passé des heures à me répéter ces même mots tandis que nous étions enfermés dans ma chambre, elle dans mes bras, frissonant et pleurant toutes ls larmes de son corps.

-ça va aller. N'y pense pas lui avais-je répété encore et encore.

C'était trop tard. Beaucoup trop tard. Je ne peux plus rien faire pour la sauver ! Et en la voyant comme sa pleine de..... de.... ce truc qui te fais sentir mal et qui te broie les idées, je n'ai aucune envie de la rejoindre dans sa peine !

J'ai juste envie d'arrêter ça ! Je ne le supporte plus.

-Lydia. Mon sang. Je suis tellement désolé que tu endure tous ça. Je.. Je dois aller voir Jace. Il va t'aider j'en suis sûre.

-non... ne part pas. Me supplie-t-elle. Part pas...

-Lydia...

C'est à mon tour d'éclater en sanglots.

Je me sépare d'elle à contre-coeur et l'embrasse une dernier fois

-Lydia... Je..... je reviens vite d'accord ? Je t'aime...

Je sors de la pièce er fuis jusqu'à la base.

-Papa ! Lydia est humaine !

Mon père se retourne vers moi Allison est là et SCOTT aussi ils ont l'air pensifs.

-stiles... Je suis désolé mais je ne peux rien faire pour Lydia.

À ces mots, je ne sentis plus rien. Des larmes coulaient lzlong de mes joues et mon coeur me faisait mal.

Je finis par sourire, l'air bredouille et retournai au près de ma dulcinée

J'entrai dans la pièce.

Lydia me regarda de ses yeux implorants et lorqu'elle croisa mon regard, je le sus. Elle l'avait compris.

Elle me fit un doux sourire. Un sourire triste et abattu.

-tu sais Stiles, c'est peut être mieux comme ça non ?

-non. Je réponds. C'est horrible.

Elle tourne la tête et je souris encore.

Mon cœur change, je le sais. Mes sentiments disparaissent, je le sens.

-lydia...touche moi lydia

Elle me regarde avec des yeux brillants.

Elle tend sa main vers moi, une main chaude, une main de chair et de sang. De sang rouge. La douceur de celle-ci m'appaise et je reste près d'elle, cette femme qui me sera bientôt inconnue.

Et tandis que ses yeux se ferment et que son se sourire disparaît, je sens ses muscles se détendre. Sa main lâche 'la mienne et retombe en emportant avec elle, mon coeur brisé en miettes.

Le lendemain, je me réveille seul dans un grand lit. Dans un grand lit où une odeur flotte, son odeur. Bizarrement celle-ci ne me fait rien. Cette odeur est bizarre, j'ai l'impression qu'elle est de trop. J'ouvre les fenêtres en grand et sort de la pièce.

J'entends des bruits dans l'atelier. Ce doit être encore une des inventions de mon père.

- bjour. Je lance en entrant.

- bonjour Stiles. N'oublie pas qu'aujourd'hui tu as une mission au Canada.

-je sais. J'y vais dans une heure.

Un blanc s'installe.

- où est-elle ? Je finis par dire.

Jace soupire.

- je l'ai déplacé dans la nuit. Je craignais que tu ne te réveille et que tu la tue.

- ça m'aurais effectivement tenté, je l'avoue.

- oui, je le sais bien. En tout cas, elle est loins. Tu ne risque pas de la retrouver.

Je le regarde longuement. Je ne sais pas pourquoi mais il y'avait un sans blanc de sérénité au fond de moi mais j'écartai cette sensation avec dégoût.

-bon, j'y vais. Je ne rentrerai pas trop tard pour la mission.

- où vas tu ? Demande-t-il

-Relax, je vais juste boire un coup !

Jace semble être un peu plus rassuré mais reste tout de même sur ses gardes.

Je me lève et me dirige vers la fenêtre la plus proche.

LYDIA

Lorsque mes yeux s'ouvrent, je ne suis plus dans le lit de Stiles. Son odeur à disparue elle aussi. À la place, je sentais l'air froide me calciner les os. Et lorsque enfin je pus y voir plus clair, j'étais dans ce qui semblait être une salle d'attente.

Mes yeux mirent du temps à s'habituer à la lumière du soleil. Je me mis à bailler. Je soupirai. Je n'avais même pas songé à regarder autour de moi. Je me mis à penser très fort.

Je pensai à Stiles, au fait que je 'e le reverrai jamais plus. Je pensais aussi à ces nouvelles sensations qui me traversaient, au tournant qu'allait prendre ma vie...

Je finis soudain par ouvrir les yeux et regarder autour de moi.

- enfin réveillée !?

Cette voix. Je suis surprise. Je me retourne. Une chevelure dégradée du marrons au blond me percute et deux yeux persans me submergent.

-M...Ma...Malia ?