le monde sous dictature

Chapitre 6 : la synchronisation

Quand nous avons à nouveaux charger le soldat, il nous a encore repoussé, mais cette fois avec plus de difficulté. Nos pouvoirs avaient effectivement évolué dans le corps de l'autre et grâce à cela nous sommes devenus plus puissant qu'on ne l'a jamais été, nous avons même utiliser une partie des pouvoirs améliorés de l'autre, j'ai réussi à lancé un éclair et Sarah s'est faite poussé des ailes dans le dos. Même le soldat n'arrivait plus à savoir ce que l'on faisait du fait que nous même ne le savions pas, nous foncions sur lui chacun notre tour, nous étions comme synchrones mais sans vraiment le faire exprès c'était comme si on était connecté, elle enchainait sur mes actions avec une telle précision et une telle vitesse que l'on s'impressionnait nous-même. Mira et moi avons enfin réussi à éliminer ce soldat qui nous gênait, avec une très belle attaque combinée : au moment où je l'ai chargé, juste avant qu'il ne me repousse Mira l'a fait s'élever dans les airs, j'ai alors pris appui sur le sol avant de sauter et de me retrouver à sa hauteur pendant que Mira prenait position juste en dessous, je l'ai frappé avec un énorme coup de pied retombant, le propulsant ainsi vers Mira qui avait fait sortir ses griffes comme un félin chassant sa proie, et, à la seconde juste avant que l'ennemie ne touche le sol, elle lui transperça la gorge.

Nous avons repris la route juste après la mort du soldat vers notre base, nous y sommes arrivés en une semaine grâce à nos nouveaux pouvoir, notre surprise fût totale en arrivant :

« Les soldats sont donc bien passés par ici, mais comment ça se fait qu'il n'y a plus personne ?

- Je n'en sais rien Marx, mais j'aimerais bien savoir où ils sont tous passé ?

- Ils ont surement fuis en voyant tous ces soldats ?

- Non ton frère n'est pas comme ça, et Tina non plus d'ailleurs, en plus tu vois bien qu'il y a eu de la lutte.

- J'espérais que tu ne me le dises pas, je sais qu'ils ne sont pas du genre à fuir, mais j'espère que ta sœur et mon frère n'ont rien. »

Plus on avançait dans le camp plus on se faisait du souci, il ne restait plus rien, ni personne, mis à part les charognes dévorants la chair fraîche des cadavres de soldat. Pendant que nous avancions je commençais à m'interrogeais sur ce qui nous avait été arriver à Sahartra, et ni Mira ni moi n'avions la réponse. Nous avons juste remarqué que nos yeux ne varié plus entre des teintes de couleur mais entre quatre couleurs bien définis : le bleu, le jaune, le blanc et le noir. Mais le plus étrange est le fait que nous étions vraiment synchrones sur le champ de bataille, et même si nous avions l'habitude de combattre ensemble, jamais nous n'avons été aussi coordonnées dans nos mouvements, mais l'effet le plus étrange était que nous avons conservé une partie des pouvoirs évolués de l'autre.

Nous avons, en continuant de marchés dans notre camp, trouvé un indice nous indiquant que tout le monde allait bien : il y avait un drapeau noir sur notre toit, cela indiquait que tout le monde avait fuis après la bataille vers la Jungle de Seattle : une ancienne ville recouverte littéralement par des arbres. Mira et moi sommes donc partis les rejoindre même si cette endroit se trouvait à une dizaine de jours de marche, ils ne devaient pas en être loin.

Tina avait décidé de s'arrêter le temps d'une soirée dans le désert de Krahac : un désert réputée pour son calme et sa température aride, tout ce qu'il y avait là-bas c'était de petits animaux non mortel. Mon frère et Conor commençaient à parler du fait que nous ne reviendrions peut-être pas, même si Drake restait convaincu que nous étions encore en vie, il fallait envisager la possibilité du contraire, et donc faire avancer tout le monde vers un endroit plus sûr. Le lendemain matin, tout le monde repris la route vers Seattle, il n'était plus qu'à quarante-huit heures consécutives de marche car ils avaient marché jour et nuit depuis l'attaque, et la nuit d'hier soir était leur première depuis trois jours.