Ma vie universitaire qui apparaît scolaire

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Depuis le 08/09/2016 : Je me rappelle bien que c'était un Jeudi .. Le jour où j'avais pris la décision de mon orientation future en ce qui concerne les études supérieures .. Je sais que c'était mon choix mais ma vie a complètement changé avec ce système trop chargé et ces inconnus ... J'avais du mal à s'habituer avec eux, EUX: Sont "MES" collègues de classe que je l'estimais auparavant que des inconnus.. Maintenant, je suis devenue une partie de cette classe, une parmi eux, une parmi leur clique et comme depuis toujours c'est la même histoire qui se répète : Ils étaient inconnus --> des connaissances --> des amis --> des frères et sœurs --> des inconnus.
Eh oui, le cycle vicieux qui ne s'arrête d'être répété..
Je tenais beaucoup à eux mais je devais oublier quelques notions dont "Amitié" "Fraternité" sont parmi .. Ça n'existe plus, je refaisais les mêmes choses et j'ai commis les mêmes erreurs du passé. Je faisais confiance à des personnes qui sont toujours capable de me trahir ..

Je sais, je suis censée d'apprendre de mes fautes mais malheureusement.. Je suis de faible personnalité et non pas de bonne foi ou de bon coeur comme disait ma mère. IDIOTE COMME JE SUIS !

Ibn Ghazi (centre des classes prépa où j'étudie) m'a permis de perdre toute sorte de contact avec mes anciennes connaissances, même elle m'a permis de supporter ce que mes "Tendres chères amies" ont fait .. Mes chères "surs" qui m'ont tourné le dos dès qu'elles ont eu l'occasion.

Je n'ai pas pleuré pour elles car ça m'a fait tant de mal au point d'avoir honte de moi-même si je pensais ou je décidais de pleurer à cause de ce mal.

Ces adieux, ces trahisons ne représente que 40% du mal mais j'espérais bien si j'avais appris de mes erreurs..

je ne mentais pas, j'avais des amis ici, je tenais beaucoup eux mais je suis arrivée au point de ne pas distinguer les bons des mauvais.. J'étais une personne sociale, populaire, et ça n'existe plus. Ici, c'est différant tout le monde te fait du bien mais à ton dos n'arrêtent de parler de mauvaises choses.. Que de l'hypocrisie, des comportements des gamins .. etc. C'est ce qui m'a poussé à dire que je sentais que nous sommes au lycée ou au collège et non le cycle supérieur et même ce qui m'a fait sentir que je suis seule : Je vivrais seule et je mourrai seule .

Mes écrits.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant