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Il y a quelques temps j'ai du déménagé, car ma mère n'avais pas l'argent pour survenir a nos besoins. Alors maintenant nous vivons dans une petit maison en bois près d'une forêt, connue pour être très dangereuse la nuit.

Ce soir là, je me trouvais sur la terrasse de notre petite maison. Et j'observais les étoiles qui brillaient par milliers dans le ciel. Je pris le temps de toutes les observer et je m'allongeais une petite heure, en compagnie de Orage mon teckel de trois ans. 

Je me posais des questions, par rapport au faîte que demain après-midi je vais devoir faire ma rentrée dans un collège non loin d'ici, ou tout les enfants "campagnards" se retrouve entre eux. 

***

Jour-J, le jour ou je vais entrer dans mon nouveau collège, j'ai peur. Mon corps entier tremble à l'idée de voir de nouveaux gens. J'aime pas ça. Ma mère m'oblige, et me pousse telle une valise.

Arriver devant le collège, j'admire la grandeur de ce bâtiment. Et décidé, je mis mon premier pas dans cette fameuse école. Tout le monde portait un déguisement, euh, pardon un uniforme. Les filles en jupe bleu marine, avec polo col claudine bleu blanc rouge, et des bottes noirs, avec un collant. Et les garçons portaient une chemise blanche rentré dans le fameux pantalon bleu marine, quelle horreur. Avec des chaussures noir, vous savez celle que le mari porte au mariage.

Je n'aimais pas ça. Je déteste les jupes. Soudain, un jeune homme s'approcha vers moi, et me dis d'un air intriguée :

- T'est bien la nouvelle? 

- Hmm, oui. 

- Alors, je me présente je m'appelle Aaron, et je suis là pour t'aider dans tes débuts de l'apprentissage dans cette école.

Je chuchotais :

- Mais je n'ai pas besoin d'aide, je suis grande.

Il a entendu. 

- C'est pas moi qui décide de tout ça, désolé ma grande. Je ne suis pas méchant tu sais. T'est sûrement une qui n'ai pas de la campagne habituellement.

- Pourquoi dis tu ça?

- Les gens de la campagne ont différentes manières d'apprendre par rapport aux gens de la ville.

- C'est faux. Pourquoi dans chacune de tes phrases se trouve un cliché?

- Ne monte pas le ton avec moi, Marie.

Il savait mon prénom. Je n'étais pas mécontente à l'idée qu'il m'aide, mais je ne le montrais pas.

- Oui, oui, marmonnais-je 

- Allez viens, suis-moi.

Il me présenta les salles unes par unes. Elles étaient vraiment magnifiques. 

- Maintenant, ce que tu attends le moins je pense..

- Que dis-tu?

- Tien ton uniforme.

Il me tendais l'uniforme scolaire, mais je refusais de le porter. Je ne voulais pas avoir l'air d'un chiffon.

- C'est les règles Marie, c'est ça ou tu est virée.

- Quelle torture, c'est un chiffon ton truc !

- Marie...

Il me fixa longtemps dans les yeux, moi qui n'était jamais impressionnée, je m'empressais d'allez me changer dans les cabines. 


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