-Course poursuite-

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Moi, c'est Roxanne, pourquoi est-ce que je cours comme une malade ?
Mais parce que la police veut pas me lâcher, j'ai plus qu'une équipe sur le dos là et franchement j'ai pas vraiment le temps de parler.

Les girofards scintillais dans la nuit de pleine lune, rouge, bleu, rouge,... la jeune fille courrait entre les arbres slalomant et grimpant pour ne pas se faire repérer, mais avec sa longue chevelure rousse ce n'était pas très discret malgré la capuche verte qu'elle avait rabattue jusqu'à ses yeux. La route se rapprochait inexorablement de la forêt et la jeune fille le savait il fallait qu'elle se cache, et surtout qu'elle se calme sinon elle allait (encore) déclencher une catastrophe mais ce n'est jamais aussi simple à faire.

J'avais mal au jambes, les branches me griffais, les feuilles me bloquais la vue. Je commençais à voir rouge, mauvais signe, très mauvais !
Je ne vis pas la racine qui entravas quelques secondes plus tard mon pieds, je m'étalais de tout mon long par terre. Dave aurait dit : "que d'élégance" mais il n'étais plus là il fallait que j'arrête de toujours pensé à lui, ça me détruisait plus qu'autre chose.
Je me remettait debout lorsque tout devint noir et que je tombais sur le sol une deuxième fois.

La jeune fille, étourdi par sa chute n'avais pas remarquer la présence du jeune policier qui l'avait frappé à la tête dès qu'elle s'était relevée, il la regardât un long moment, admirant ses trait fins, sa bouche accueillante, et le détails qui ne pouvait pas lui échapper, une cascade de cheveux roux qui s'échappait de sa capuche lorsqu'un message lui parvint de son talkie-walkie : "on as perdu la cible, il ne faut pas qu'elle nous échappe, retrouvée la !!! Fin" Thomas car s'était comme ça que ce nommait le jeune homme s'empressa de dire qu'il avait intercepté la cible et qu'il la ramenait. Une pointe de remords le traversa alors : elle avait l'air si jeune et elle étais si belle ! Mais le devoir l'emporta et il se dirigea vers la route en portant délicatement la jeune fille dans ses bras. Il déposât un baiser sur son front et sorti de la forêt acclamé par son équipe.

La malédiction du phœnix Où les histoires vivent. Découvrez maintenant