Le sentiments le plus fort, reste l'amour

Chapitre 8

"Drago" ce nom résonner tellement bien dans la bouche de Hermione pensa Drago.

La journée se passa normalement, pas d'événements exceptionnels.

Le soir Drago et Hermione se retrouvèrent pour faire leur ronde.

-Drago, je peux te poser une question ? Demanda la belle brune.

-oui, après t'attends pas à avoir une réponse, Ironisa Drago.

-bien, je voulais savoir.. hum... tu sais tes parents... tu étais au courant avant tout le monde, les mangemorts t'ont donc prévenu ?

Drago encore triste des événements regarda hermione dans les yeux, il ne savait pas si il pouvait se confiée à elle, mais une petite voix au fond de lui lui disait de lui faire confiance. Il s'avança d'elle, mit ses yeux acier dans ses yeux chocolat.

-oui, j'ai reçu une lettre le jour même. Hum... ils ont dit que c'était pas les derniers.

-en tout cas, Drago je suis désolée pour toi, vraiment.

Drago s'avança et enlaça la griffondor, aucune idée pourquoi mais c'est comme si il n'a pas pu empêcher ce geste. Mais ce qu'il le choqua encore plus c'est que Hermione ne le repoussa pas et resserra ses bras autour de sa taille. Drago fut parcouru d'un frisson.

Qu'est ce qu'elle était bien Hermione dans les bras de Drago, elle se sentait en sécurité. Elle était heureuse qu'il la prenne dans ses bras, elle fut aussi parcouru d'un frisson. Drago la dessera et remis ses yeux dans les siens. Il s'avança encore plus.

-hum... je vais aller me coucher, au revoir Drago, stoppa Hermione.

-hum.. heu.. oui, bafouillât Drago couper dans son action.

Drago ne s'était jamais sentis aussi bien que ce soir là, il ne pouvait pas en parler à Blaize et encore moins aux autres, ils le prendrait pour un fou. Puis Daphné il l'avait oublier pendant un moment.

Hermione elle en retournant dans son dortoir vit Ginny elle n'était pas endormis, elle devait lui parler.

-Ginny ?

-oui ?

-je crois que je commence vraiment à aimer Drago, dit fébrilement la belle brune à la jeune fille aux cheveux de feu.

-NON, mais comment tu peux, vous vous détestez, rien qu'hier vous vous insultez.

-il y a une semaine on avait bien parler, mais après à cause de ses parents il a peter un plomb.. je comprends... puis la ce soir on s'est prit dans les Bras, j'ai sentit un frisson et j'étais extrêmement bien.

-ma pauvre... tu tombes dans ses filets, met tes distances je te rappelle que c'est un coureur de jupon, tu es la seule qui pensait de pas avoir, tu es un défis pour lui, fait attention.

-tu as raison.

Puis elles allèrent ce coucher et s'endormirent rapidement.

Le lendemain matin, Hermione alla à la douche puis alla à la bibliothèque pour terminer un travail.
Elle s'assit à la plus petite table de la bibliothèque, là où il n'y avait personne.
Tout à coup elle sentit une main sur son épaule.

-Harry, comment tu vas ? S'exclama-t-elle.

-je ne sais pas, je parle pas avec lui, répondît une voix qu'elle connaissait très bien.