The Walking Dead apocalypse

Chapitre 21: Espoir.

Le soir arriva et nous nous installèrent pour dîner tous ensemble. L'homme nous expliqua qu'il était scientifique, et qu'il essayait de trouver un remède à l'infection.
-J'étudiais pour devenir médecins spécialisée en épidémiologie avant tout ça, j'aimerais beaucoup connaître vos recherches.
-Avec grand plaisir. Il me sourit. Il s'appelait Tom et il était très gentil. Sa fille, Marie, était vraiment étrange. Elle n'avait pas parler du repas. Et Carol m'avait dit qu'elle était restée devant la grille tout le temps où nous étions en expédition avec Daryl. Encore maintenant, elle continuait de l'observer sans ciller, mais je ne crois pas qu'il l'avait remarquer. Ça devait d'ailleurs être le seul.
-Marie?
Elle regarda son père qu'il l'avait appeler.
-Tu ne parles pas, tout vas bien.
-Oui Papa, tout vas bien. Merci de nous avoir accueilli. Vous êtes très gentils, et toi je t'aime bien. Elle pointait Daryl du doigt, il releva la tête.
-Hein?
-Toi je t'aime bien, répéta t-elle.
-Ah, bah c'est sympa merci. Il avait l'air perturbé.
-Bon, fini-je par dire, docteur, nous pourrions peut-être étudier ensemble vos recherches? J'ai hâte de voir ce que vous avez trouver.
-Bien sur, suivez moi.
Nous quittions la table, et tout le monde commença à se lever, je vis Rick parler à Tara.
-La nouvelle a l'air un peu perdue, toi et Carol pourriez peut-être discuter avec elle, la mettre à l'aise.
Elle hocha la tête avec un sourire et partit prévenir Carol.
Je suivis Tom dans sa cellule et il me montra sa mallette, dans laquelle il avait garder toutes ses recherches depuis le tout début de l'infection. Je lu les dossiers avec attention, et nous parlâmes durant des heures, nous imaginions ce que nous pourrions faire en ayant accès à un laboratoire de recherches. Soudain, je regarda le ciel et vu que la nuit était déjà bien avancée. Je souhaita bonne nuit au docteur, parti fumer une cigarette puis rejoint Daryl dans notre cellule. Marie se trouvait devant, elle tenait les barreaux dans ses mains et fixait Daryl avec insistance.
-Marie? Je peux t'aider?
Elle sursauta et se tourna vers moi.
-Je ne sais pas où dormir.
-Ah.. Et bien la cellule à côté de ton père est libre, tu pourras être proche de lui comme ça.
-Je peux dormir la?
Elle montrait le matelas collé à celui de Daryl, nous en avions collé deux sur le sol pour dormir ensemble, étant donné que les lits étaient superposés dans la prison.
-Euh, c'est mon lit la.
-Mais je voudrais dormir la, insista t-elle.
J'étais fatiguée, je ne voulais pas me battre avec elle et encore moins réveiller tout le monde, ils avaient besoin de sommeil. Je failli céder mais je ne la connaissais pas, elle pourrait très bien tuer Daryl dans la nuit.
-Écoute Marie, on a qu'à installer un autre matelas dans la chambre pour ce soir et demain on te trouvera une chambre à toi d'accord?
Elle me faisait un peu de peine, je lui souris gentillement, elle avait l'air perdue.
Elle me sourit en retour et hocha la tête.
-Attends moi la, je vais chercher un matelas.
Je parti dans la cellule d'à côté chercher un matelas, en pensant que j'aurais quand même mieux à foutre à 3h du matin. Je soupirais. Je fini par réussir à prendre le matelas et le mit dans ma cellule, à côté du mien.
-Je peux dormir à côté de lui?
J'en avais plus rien à foutre, j'étais exténuée je voulais juste dormir.
-Oui oui bien sûr. On va se mettre chacune d'un côté de lui d'accord? C'était vraiment bizarre de dire ça mais la fatigue m'avait plongée dans une espèce de transe.
Elle ne répondit pas et s'assit à côté de Daryl, collée à lui. Elle se faisait vraiment pas chier! Je poussais Daryl pour me mettre à côté de lui. Il avait le sommeil tellement lourd qu'il ne se réveilla pas. Je pris son bras et le mit sur mon ventre pour être sure qu'il ne la prenne pas pour moi durant la nuit. Je m'endormais rapidement.

Quelques heures plus tard, je sentis qu'on me secouait. Je gémis et me tourna de l'autre côté, mais les secousses continuaient, je finis par ouvrir les yeux et vit Daryl qui me regardait les sourcils froncés.
-Qu'est ce qu'elle fout la?
Je haussais les épaules.
-Elle a insisté pour dormir à côté de toi, j'étais crevée j'ai été lui chercher un matelas.
-Elle est tarée cette meuf. Je ne répondit pas.
-On s'en fou, recouche toi et si elle met sa main dans ton pantalon tu lui en colles une.
Il fini par abdiquer et se rallonger. Il mit son nez dans mon cou et inspira, je souris en mettant ma main sur sa joue. Je me retournais pour l'embrasser et m'endormis allongée sur son torse. J'avais presque oublier que Marie dormait avec nous, mais je n'allais pas tarder à m'en souvenir...