⚜À la famille.

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Laisse te contempler,
Au son du vent.

Tu l'as mérité,
Tu l'avoue et le consent.

Cet être parsemé,
Et pourtant.

Ils y veillent,
Mais tu ne peut empêcher.

Le vide sans pareille,
Te combler.

Laisse périr,
Ton esprit éprit,

De rage conquis,
Où la mélancolie s'intensifie.

Et ta mort cri,
"Viens ouvre les bras a ton dû".

Tu as pourtant accourut,
Sans te soucier.

Plus de jours pluvieux,
Après cette envolée

Adieu, Adieu,
Et à jamais.

Sans Utopies Où les histoires vivent. Découvrez maintenant