Laisse te contempler,
Au son du vent.Tu l'as mérité,
Tu l'avoue et le consent.Cet être parsemé,
Et pourtant.Ils y veillent,
Mais tu ne peut empêcher.Le vide sans pareille,
Te combler.Laisse périr,
Ton esprit éprit,De rage conquis,
Où la mélancolie s'intensifie.Et ta mort cri,
"Viens ouvre les bras a ton dû".Tu as pourtant accourut,
Sans te soucier.Plus de jours pluvieux,
Après cette envoléeAdieu, Adieu,
Et à jamais.
VOUS LISEZ
Sans Utopies
PuisiPoèmes amateurs écrits sur des sujets plus ou moins pragmatiques 😛 (Certains proviennent de "jeux".. donc je n'égale probablement pas certains poètes sur Wattpad !)